Dénivelé et larges points de vue attendent le randonneur, qu’il pratique le vélo de route, le VTT ou la marche.
Ma randonnée cyclotouriste de l’an dernier m’avait fait entrevoir le Cézalier à la faveur d’un crochet me menant à Condat, faisant naître la perspective d’un séjour sur ces terres.
Entre massif du Sancy et Monts du Cantal, le Cézalier constitue un admirable belvédère. Outre ses paysages de prairies aux courbes harmonieuses il donne à voir de superbes panoramas.
Pour le cycliste amateur de nature et de dénivelé, il propose des routes champêtres à faible densité de circulation et de nombreux cols aux pentes régulières.
En quête d’un lieu de vacances pas trop fréquenté, nous y avons passé une semaine cet été. Dans un programme surtout consacré à la randonnée pédestre, je parvins à programmer une randonnée cycliste de 120 kilomètres traversant ce que le Guide Michelin identifie comme les hauts pâturages.
Au départ de Blesle, on grimpe sur le plateau et contournant la réserve naturelle des Sagnes de la Godivelle on rejoint la vallée de la Grande Rhue qui mène à Condat. De là, nouvelle ascension sur le plateau avant de basculer dans la vallée de la Sianne qui rejoint celle de l’Alagnon.
Avec un peu plus de 2000 m de dénivelé pour 120 kilomètres, ce parcours demande de l’entraînement sans présenter de difficulté majeure.
Je n’ai pas pris de photos de Blesle, point de départ de cette boucle alors que ce charmant village mêlant maisons de pierres et à colombages mérite la visite.
Au terme d’une montée régulière, Anzat-le-luguet.
Peu après Anzat, l’embranchement en direction de Le Luguet et le col de Vestizoux. Sa pente moyenne de 2,3% avec un maximum de 5,6%, permet de lever la tête du guidon et de profiter des paysages.
Rappel à la prudence pour les automobilistes. Est-ce le fait d’une fin de saison, la circulation est pourtant faible sur ce tronçon.
Le Signal du Luguet, éminence visible de loin, qui en application du principe du retour inverse de la lumière offre de beaux points de vue.
Une bonne vue et surtout un agrandissement du cliché permettent de distinguer cette tête de vache qui balise le Tour des vaches rouges, encore appelé Tour du Cézalier. Ce parcours de 135 km est praticable à pied ou en VTT.
Pour en savoir plus, cliquez sur l’image.
Côté pile, vu des environs du col de Vestizoux
Côté face, en allant vers Saint Alyre es Montagne.
En arrière plan, Saint Alyre.
Bonne nouvelle, le col de la Volpinière est ouvert.
Sur le plateau en direction de La Godivelle.
Léglise de La Godivelle. Je regrette de n’avoir pas photographié la fontaine aux dimensions remarquables.
Si le pays de la Salers est tout proche, ce sont ici des Aubrac.
J’espérais trouver une boulangerie à Eglise Neuve d’Entraigues mais elle sera fermée à mon arrivée. Finalement, sur tout le parcours je n’en rencontrerai aucune d’ouverte et je devrai me contenter de barres de dates pour toute alimentation.
Là j’avoue, je me perds un peu dans la géolocalisation de la photo. Vu l’heure de prise de vue, ce doit être entre Condat et Marcenat.
Je n’irai pas jusque Allanche et bifurque vers Pradiers
Du col de Fortunier à celui de Vazèze, la route suit peu ou prou les courbes de niveau, véritable balcon donnant sur la vallée de la Sianne.
Du col de Chanusclade, s’amorce la descente vers la Sianne. Mais une fois atteinte, il faudra remonter vers Veze pour ensuite la retrouver et ne plus la quitter jusque Blesle.
Pour être informé des prochaines publications, abonnez-vous.
Des flancs du Mont Noir, une large perspective que les nuages renforcent.
En ce début septembre, le soleil est généreux, ce sont les annulations de sorties dominicales qui pleuvent.
Heureusement, les cyclistes précautionneux ascendant fourmi ont emmagasiné des traces GPS et pas chiens, les partagent.
En quête d’une sortie VTT, je trouve celle d’un brevet au départ de Boeschepe. Cinquante cinq kilomètres est une distance propre à m’occuper tout un dimanche matin. Le tronçon Lille Bailleul effectué en TER me permettra d’éviter un lever trop matinal à mon goût et de rentrer à une heure convenable pour le repas de midi.
Agréable circuit qui chemine entre Mont des Cats et Mont Noir. Des terrains variés et de beaux points de vue à la clé. Les puristes trouveront peut-être les secteurs sur route un peu trop nombreux mais cela permet de profiter du paysage.
La trace au départ de Bailleul que l’on peut charger sur Openrunner (cliquer sur l’image).
Un carrefour que l’on retrouvera sur le chemin du retour.
Le Mont Noir à l’horizon.
Vu ainsi, cela n’a pas l’air trop compliqué à franchir mais ce le fut pour moi.
Du monde en face.
Gare au traitre trou à droite, masqué par la végétation.
Quand reviendra-t-il le temps des brevets? Quelques photos de cyclistes, comme avant.
Ceux qui attendent du chemin de la levrette quelque situation croustillante en seront pour leurs frais.
Direction Boeschepe bien sûr…
… que l’on aperçoit à droite mais que l’on ne rejoint pas directement.
Cyclistes, piétons et cavaliers étaient nombreux à se promener ce dimanche matin.
C’est la saison des mûres.
Par les chemins creux.
Celui-ci non creux bien connu, conduit au Moulin de Boeschepe, grand absent de cette série de clichés.
En direction de Bailleul que l’on entraperçoit au loin.
Cela faisait longtemps que des vaches n’avaient pas illustré un reportage. Celles-ci font leur réapparition pour cette Ronde des sorcières 2019.
Les sorcières furent bienveillantes avec le Vélo club Templeuve, Cappelle en Pévèle qui les célébrait. Elles déployèrent leurs maléfices tourbillonnants et mouillants la veille, nous laissant profiter d’un dimanche matin ensoleillé dans une campagne verdoyante.
Un parcours d’autant plus roulant en l’absence de vent, nous conduisit (pour le 90 km) de la Pévèle vers le Parc Naturel Régional Scarpe Escaut, traversant forêts de Saint Amand et de Marchiennes. Mons en Pévèle constituait le seul dénivelé du jour.
La trace GPS du 90 km que vous pouvez retrouver sur Openrunner.
Trois autres distances de 20, 40 et 60 km étaient également proposées, que vous pourrez retrouver en suivant les marques TC vertes au départ de la salle polyvalente de Templeuve. Attention pas de marquage au sol en forêt de Marchiennes pour le 60 km.
Participation : 386 cyclistes et 70 marcheurs. Merci et bravo aux neuf membres du club qui ont réussi (avec l’aide de leurs épouses) à organiser ce brevet multi activités et multi distances.
Pour ce qui est des photos, j’ai, j’en bats ma coulpe, sombré dans le « Perseverare Diabolicum », renouvelant mes tentatives de prises de vues en vitesse lente. Je ne suis toujours pas au point, au sens propre comme au figuré, et il y eut donc de la perte en ligne. D’autant qu’aux pertes directes vinrent s’ajouter les dommages collatéraux résultant de l’oubli de changement de réglage. Désolé de ne pouvoir rendre leur salut en photos à certains d’entre vous. Promis, je m’entraîne hors brevet avant de renouer avec ce mode de prise de vue.
Cette matinée ensoleillée entre deux périodes de temps maussade a de quoi rendre joyeux les organisateurs.
Onscrute néanmoins avec attention l’horizon dans l’attente des participants.
Et nous voici 60 kilomètres plus loin au ravitaillement en forêt de Marchiennes.
Où arrive un groupe du VC Roubaix.
Séance photos pour ces deux participantes au 90 km…
… avec leurs accompagnateurs du jour.
C’est reparti pour les cyclos d’Anstaing.
Alors qu’arrive un groupe de jeunes cyclistes. A leur maillot, j’en déduit que c’est un groupe du Collège Saint Adrien de Villeneuve d’Ascq qui s’entraîne en vue du Trophée de France des jeunes cyclistes qui aura lieu du 04 au 07 juillet prochain.
Une petite route bucolique et bien exposée, tout incite à une halte.
Un de mes essais de prise de vue en vitesse lente.
Deux renards des sables.
On observera que ce renard est doté de deux queues. L’une à l’arrière du casque et l’autre en bas du dos.
Alors que cet autre n’en dispose que d’une. Ce correspond-t-il à une différence de statut au sein du club? Le Président des Renards des sables nous apportera peut-être une réponse.
Mons en Pévèle, seule bosse du circuit, est passée.
Une erreur de parcours, donne droit à une seconde photo.
Pour être informé des prochaines publications, abonnez-vous. Bouton en bas de colonne de droite, page Accueil.
Belle lumière sur le Heuveland et les Monts des Flandres pour cet Elan d’enfer 2018.
Fort heureusement les années se suivent et ne se ressemblent pas. L’an dernier, je me fracturais la cheville lors de cette randonnée. Je suis rentré cette fois-ci harassé mais sain et sauf. Cerise sur le gâteau j’ai gagné une gourde à la tombola.
Pour ce qui constitue pour moi le début de la saison VTT, le temps et le terrain étaient idéals. Sec et ensoleillé côté météo, humide mais pas détrempé pour ce qui était des chemins.
En fait d’élan d’enfer, j’optai pour un plus modeste en m’engageant sur la distance la plus courte de 25 kilomètres, l’aller et le retour en suivant depuis Lille les berges de la Deûle puis de la Lys jusque Frelinghien, procurant un complément de 50 kilomètres. Bien m’en pris car, par le fait de je ne sais quelle diablerie, le parcours annoncé de 25 kilomètres se révéla en comporter 36, GPS faisant foi.
Je ne fis donc qu’apercevoir Mont-Rouge et Mont-Noir qui étaient au menu du 55 kilomètres.
N’étant pas trop contraint en termes d’horaire et la lumière s’y prêtant, j’ai pu photographier à mon aise cyclistes et paysages.
Le retour vers Lille avec un vent de face fut un peu éprouvant, même si le cheminement le long des berges était sans doute plus abrité que sur route.
Vous pouvez retrouver la trace GPS sur Openrunner. Ne tenez pas compte de la boucle vers le 34ème kilomètre. Œuvre du Malin, d’un plaisantin ou du vent, une flèche nous fit faire le tour d’un champ de colza pour nous ramener au même point.
Peu après le départ, un chemin bien exposé.Contournement de Nieuwkerque par un chemin herbeux. Ravitaillement, au soleil mais dans le vent. L’écharpe n’était pas de trop.Des vaches ont investi la pâture, mon vélo semble intriguer l’une d’elles.Photos de paysages entre deux passages de cyclistes.C’est plat mais il y a du vent.Les mains un peu engourdies par le froid j’ai modifié sans m’en rendre compte le réglage de la balance des blancs. Résultat, des photos en nuit américaine. Le passage en noir et blanc était le seul moyen d’obtenir un rendu acceptable.Sans doute les plus jeunes participants.