Belle lumière sur le Heuveland et les Monts des Flandres pour cet Elan d’enfer 2018.
Fort heureusement les années se suivent et ne se ressemblent pas. L’an dernier, je me fracturais la cheville lors de cette randonnée. Je suis rentré cette fois-ci harassé mais sain et sauf. Cerise sur le gâteau j’ai gagné une gourde à la tombola.
Pour ce qui constitue pour moi le début de la saison VTT, le temps et le terrain étaient idéals. Sec et ensoleillé côté météo, humide mais pas détrempé pour ce qui était des chemins.
En fait d’élan d’enfer, j’optai pour un plus modeste en m’engageant sur la distance la plus courte de 25 kilomètres, l’aller et le retour en suivant depuis Lille les berges de la Deûle puis de la Lys jusque Frelinghien, procurant un complément de 50 kilomètres. Bien m’en pris car, par le fait de je ne sais quelle diablerie, le parcours annoncé de 25 kilomètres se révéla en comporter 36, GPS faisant foi.
Je ne fis donc qu’apercevoir Mont-Rouge et Mont-Noir qui étaient au menu du 55 kilomètres.
N’étant pas trop contraint en termes d’horaire et la lumière s’y prêtant, j’ai pu photographier à mon aise cyclistes et paysages.
Le retour vers Lille avec un vent de face fut un peu éprouvant, même si le cheminement le long des berges était sans doute plus abrité que sur route.
Vous pouvez retrouver la trace GPS sur Openrunner. Ne tenez pas compte de la boucle vers le 34ème kilomètre. Œuvre du Malin, d’un plaisantin ou du vent, une flèche nous fit faire le tour d’un champ de colza pour nous ramener au même point.
Peu après le départ, un chemin bien exposé.
Contournement de Nieuwkerque par un chemin herbeux.
Ravitaillement, au soleil mais dans le vent. L’écharpe n’était pas de trop.
Des vaches ont investi la pâture, mon vélo semble intriguer l’une d’elles.
Photos de paysages entre deux passages de cyclistes.
C’est plat mais il y a du vent.
Les mains un peu engourdies par le froid j’ai modifié sans m’en rendre compte le réglage de la balance des blancs. Résultat, des photos en nuit américaine. Le passage en noir et blanc était le seul moyen d’obtenir un rendu acceptable.
Sans doute les plus jeunes participants.