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Cyclotourisme Randonnées

Les mulquiniers – Balade en Cambrésis

N’ayant pas charge d’âmes ce dimanche et le temps promettant d’être sec, voire ensoleillé, je décidai de partir pour la journée, délaissant le brevet de Mouscron.

J’avais repéré dans les parcours balisés par le Conseil Général du Nord et pour m’être promené à pied aux environs de Cambrai, deux circuits qui présentaient l’avantage de pouvoir être combinés, ceux des Mulquiniers.

Le Tour de France étant terminé, je peux, pour les nostalgiques des retransmissions de France Télévision, vous la faire façon commentateur préposé aux affaires culturelles. Vous m’imaginez donc, l’élocution soignée, vous lire d’un air docte, alors que la caméra embarquée dans l’hélicoptère survole des champs de céréales et des pâtures et que se profilent au loin les trois clochers de Cambrai :

« Le terme de mulquinier est dérivé de «  molaquin » ou « mollequin »  qui signifie toile fine. Il désigne l’ouvrier tissant la batiste et le linon à la main et à domicile. »

Je vous laisse découvrir le reste sur les fiches éditées par le Comité départemental du tourisme du Nord, que vous pouvez trouver sur le site.

Les mulquiniers, panoramas du Cambrésis

Les Mulquiniers, broderies et châteaus

Pour en revenir à cette balade, ayant décidé de ne pas forcer la nature par un réveil programmé, ce n’est qu’à 8 heures que je quittai Mons avec, dans mon sac, une carte ne couvrant qu’une partie du trajet et l’itinéraire traçé la veille sur Open Runner.

Le départ se fit sans problème mais dès Capelle en Pévèle, pour n’avoir pas suivi au fur et à mesure le déroulement de l’itinéraire prévu, impossible de faire coïncider les indications d’Open Runner et la carte. Après plusieurs hésitations et arrêts pour faire le point et faute de pouvoir rouler en regardant la carte, je décidai de me diriger en me fiant à la position du soleil et à ma connaissance des environs. Ce fut je vous l’accorde très approximatif mais à Fenain, je retrouvai contre toute attente l’itinéraire prévu. Le suivant alors à la lettre je parvins sans difficulté à Cambrai d’où l’on rejoint le premier des deux circuits intitulé « Les mulqueniers, panoramas du Cambrésis ».

Cette partie traverse le plateau cambrésien avec ses vastes champs de céréales et ses pâtures. On croise de grandes fermes et les villages ont un aspect plutôt cossu.

A Ligny, on peut alors enchaîner sur le second itinéraire « Les mulquiniers ; broderies et châteaux » qui évoque vous l’aurez deviné le passé textile de cette contrée et passe au pied des châteaux de Lesdain, Lesnes et Ligny ainsi que de vastes demeures bourgeoises.

Cependant, si vous enchaînez les deux boucles comme indiqué vous ne les verrez pas tous, Lesdaint et Esnes se trouvant sur le tronçon commun entre Crevecoeur su Escaut et Ligny que l’on évite.

Le parcours est un peu vallonné avec une belle remontée sur le plateau entre Créveoeur et Cambrai. Variété du relief et des paysages sur des routes peu fréquentées ou aménagées font que je vous conseille cette randonnée d’une soixantaine de kilomètres au départ de Cambrai.

Voici quelques photos et descriptions narratives pour compléter ce compte rendu un peu aride et factuel.

La gare de Landas et son enseigne « Chemin de fer du Nord ».

Secteur pavé en allant vers Fenain.

D 130, voilà de quoi vous donner confiance, s’agissant d’une route et de sa viabilité. Surprise, vous vous retrouvez sur un secteur pavé. Mes crevaisons à répétition sur Paris-Roubaix encore présentes à l’esprit je croise les doigts et essaie de me faire léger. Un arrêt pour cause de perte de pompe, m’invite à une séance photo. La portion est assez longue et je finis par trouver une route de dégagement qui moyennant un léger détour me permet de rejoindre Fenain.

Fenain, sa rue Wladimir Lenine en dit long sur le passé ouvrier de la commune.

Une piste cyclable digne de ce nom.

Le clocher de l’église de Mastaing.

Pâture peu avant Neuville Saint Remy et la ville.

Le Campanile de Cambrai et Martin, Martine prêts à sonner l’heure.

La chapelle des jésuites.

Cauroir.

Pâtures sur le plateau, un paysage typique.

Plateau cambrésien.

La mairie d’Estourmel, où je pique niquerai.

Cette voute (détail de la maison de gauche sur la photo précédente) témoigne de l’activité des mulquiniers.

Calvaire à Cattenieres.

Pour voir ce calvaire, il faudra faire un détour. C’est un panneau manqué qui me fera remarquer, revenant sur mes pas, ce calvaire situé en retrait de la route (près de l’intersection entre la rue Eugène Fievet et la rue Jean Jaures). J’aime particulièrement la lumière qui l’éclaire. Avec les nuages, la luminosité est très changeante et un paysage vivement éclairé devient subitement terne. Il faut être là au bon moment et rapide à sortir l’appareil de son étui. Je me suis arrêté plusieurs fois, en vain, n’ayant pas la patience d’attendre qu’un épais cumulus venu soudainement obscurcir une scène daignât poursuivre son chemin.

Le monument aux morts de Cattenières et son poilu coloré qui semble sorti d’une bande dessinée de Tardi.

Une des nombreuses grandes fermes croisées sur le parcours.

Cimetière militaire allemand de Wallincourt – Selvigny.

Péniche à Crèvecoeur sur Escaut.

A Crevecoeur, je croise un marchand de glaces ambulant. Je l’avais entraperçu à Cattenières diffusant toujours la même musique pas vraiment de circonstance puisqu’il s’agit de Jingle Bells.

Me reviennent en mémoire des souvenirs d’il y a quarante ans où la vie de la « Cité » nouvellement construite était rythmée par les coups de klaxon ou les cris des marchands ambulants venant en camionnette approvisionner ce nouveau quartier dépourvu de commerces. Il y avait encore quelques fermes actives et le laitier proposait du lait frais non pasteurisé.

Pour en revenir à notre marchand de glaces, au prix du carburant et à l’ère des congélateurs, je m’interroge sur la rentabilité de son négoce. S’il faut en plus entendre Jingle Bells à longueur d’après-midi c’est presque du sacerdoce.

En arrivant à Cambrai.

De retour à Cambrai, je m’interroge sur la suite de mon périple retour en vélo ou en train?

Il est 16h00 et la perspective d’un café sur la Grand Place suivi d’un retour en train gagne du terrain. D’autant qu’avec près de 150 km au compteur et un vent défavorable, le retour risque d’être moins plaisant que l’aller. Il n’y a pas que le vélo dans la vie.

Glace sur la Grand place.

Finalement, ce sera glace (cassis-mandarine) plus train. Je retrouve sur la Grand place une camionnette des établissements Ruiz. Les vendeuses sont mieux loties que leur collègue itinérant, pas de Jingle Bells et de nombreux chalands.

Le TER est équipé d’un système d’accrochage pour les vélos.

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Brevet Cyclotourisme

Le Printemps Frontalier 2011

Ce dimanche, se posait de nouveau la question du choix entre proximité et kilométrage. A portée de pédale démarrait le circuit de Mons à vélo. Après une semaine un peu fatigante, la perspective de gagner une demi-heure de sommeil était tentante. Mais le parcours proposé était sans surprise et nous conduirait dans les mêmes contrées que la balade de Léo, faite deux semaines avant.

J’optai en définitive pour La Picarde au départ de Mouscron qui annonçait un circuit de 95 km, auquel s’ajoutait l’aller retour.

Les pare-brises étaient, à certains endroits, blancs de givre et les gants d’hiver n’étaient pas superflus. Cela ne dura pas et au ravitaillement j’enlevai bonnet, tour de cou, puis ouvris toutes les fermetures Eclair afin de ventiler.

Je n’ai pas regretté mon choix car le circuit est très agréable. Partant vers Tournai, il nous emmène vers les Frasnes et retour par le Mont Saint Aubert. Vallonné, l’itinéraire évite les passages trop pentus, notamment vers Montroeul ou le Mont Saint-Aubert que l’on effleure. Un parcours idéal donc pour un début de saison (Cf. topo à la fin).

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Cyclos pas frileux en cuissard, la suite de la matinée leur donnera raison.

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Un plus couvert.

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Quelques brumes matinales.

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Vers le canal ?

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Mais non nous franchirons le pont.

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Vers les Frasnes.

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Le Mont  de L’enclus au loin (enfin je crois bien).

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Ravitaillement et église d’Anvaing.

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Peu après Montroeul.

Se déroulant en Belgique, le balisage était vertical mais la feuille de route est suffisamment précise pour reconstituer l’itinéraire. Voici les indications données :

Hall Max Lessines, rue des Près, Mouscron

Garage VW Chéé de Gand @ ^ 

Coquinie, rue du Plateau

Mont Gallois

Tombrouck (Centrale électrique)

> Leuzestraat

X Bellegem Bos >

XTournai – Kortrijk  < 12,6 km

Restaurant « Argendael » 13 km >

Kooigem-Sint-Denijs ^

Sint-Denijs Kaveiestraat  < @

Helkijn (Eglise) < 21,3 km

Pottes Dir Molembaix > 23 km

Ferme de l’Ecavee, rue Hauten 27 km

Celles (Eglise) >

Dir Boucherie Samain <

Anseroeul chemin de Hollaye

X Tournai Renaix

Chemin du Moulin 34,1 km

Arc Wattripont 36 km

Arc-Aisnières

Anvaing 42,7 km

Rue du Plit ^

Montroeul (Eglise) 48,6 km ^

Ferme de Liessart <

Rue Pétreux >

Chapelle > Direction Quartes

Direction Popuelles/Velaines <

Rue Besace <

Mourcourt 63 km

Restaurant « La Gringotière » 66 km >

X Pecq Palce 74,6 km

Route Pecq St Leger <

Saint-Leger <

Evregnies Centre  ^ 82 km

Estaimpuis Ponney club >

Herseaux Epinette (centre Pierre de Coubertin) < 86,6 km

Luingne Place @ ^ 90 km

Caserne pompiers >

Parc ^92 km

Hall Max Lessines 94,6 km

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Cyclotourisme Randonnées

Uffholz – Mons en Baroeul (3ème étape Maxey sur Vaise – Dun sur Meuse)

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La Meuse à Saint-Mihiel (Aquarelle – coll particulière)

25 août

Ce matin départ au sec, même si le ciel demeure couvert.

J’écoute avec délice le doux ronronnement de la chaîne désormais bien huilée et me souviens que traînent dans ma cave des fonds de bidons d’huile de moteur que je pourrais sans doute utilement recycler dans le graissage de chaîne. Ce pourrait être une protection efficace contre la corrosion due au sel pendant la période hivernale.

Mais bien que le temps de ces jours derniers permette d’en douter, l’hiver est encore loin, profitons de l’été.

Je poursuis ma route tranquille le long du fleuve.

Passage à Commercy dont je découvre qu’elle dispose d’un vélodrome.

A Mecrin, je constate qu’une route qui semblait coupée sur ma carte au 250.000 ème m’amène en fait directement à Brassettes. Une fois parvenu, un fermier m’indique un chemin communal qui file vers Ailly sur Meuse. Ces itinéraires bis m’évitent dix kilomètres sur la départementale qui mène à Saint-Mihiel. J’y fais mes courses et échange quelques propos vélocypédiques avec un charcutier cycliste.

Je reprends mon chemin et m’arrête aux Paroches pour pique niquer sur ce qui fait office de place de l’Eglise. Arrive alors un cyclo au long cours et nous engageons la conversation. Parti d’Amsterdam, il rejoint Lyon pour ensuite rentrer en Autriche après avoir travaillé 10 ans à Washington en tant qu’architecte. Je lui indique la route découverte le matin avec, par la suite, la crainte de l’avoir envoyé dans une galère car sa carte routière est encore moins détaillée que la mienne et il traine quand même un vélo de 45 kilos.

Nous nous prenons mutuellement en photo et échangeons nos adresses électroniques puis repartons chacun de notre côté.

La route vers Verdun est agréable sur une départementale pas trop fréquentée et avec un temps ensoleillé.

A Verdun, je quitte la vallée pour grimper sur le plateau de l’Argonne et traverser quelques lieux historiques de la guerre 1914-1918. Changement de rythme par rapport à ces deux derniers jours en plaine. J’observe des traces de la semaine fédérale de la FCCT, plusieurs communes ayant laissé leurs décorations « vélo ».

Le temps s’est couvert et le paysage est plutôt austère. Après un passage au mémorial américain de Montfaucon, je rejoins le cimetière américain de Romagne-sous-Monfaucon. C’est un lieu étonnant. Une longue pelouse bordée d’arbres sépare le domaine en deux, qu’une route, ouverte à la circulation, traverse de part et d’autre de la pelouse. Sur un des côtés, s’étend le cimetière. Deux rangées de quatre pelouses taillées court abritent des milliers de croix blanches alignées.

Malgré la route traversante, l’endroit paraît coupé du monde et hors du temps. Un calme éternel semble l’envelopper que rompent seulement tous les quarts d’heure sonneries aux morts ou airs yankees.

Le cimetière allemand situé quelques centaines de mètres plus loin est de taille et d’allure plus modestes.

J’amorce alors mon retour dans la vallée pour rejoindre Dun sur Meuse. Je suis scrupuleusement les indications de la logeuse et suit la direction de l’église du XIV éme siècle. La montée est rude et parvenu presque au sommet, je me dis que je vais me retrouver au pied du monument mais sûrement pas rue du Pape Etienne. Je redescends donc de l’autre côté, espérant trouver la rue attendue. Je me retrouve sur les bords de meuse et demande à plusieurs passants mon chemin. En vain, manifestement celle-ci est peu connue. Finalement, un plan de la ville trouvé au hasard des mes allées et venues me confirmera qu’il fallait persévérer. Je remonte donc la côte, petit plateau grand pignon, et finis par trouver la rue et la chambre d’hôtes. Située à flanc de coteau, la maison offre une large vue sur la vallée. La chambre est très confortable et l’accueil chaleureux. Voyant mon air dépité en apprenant qu’il n’est pas possible de cuisiner et qu’il faut redescendre et donc remonter pour se restaurer, mon hôtesse finira par me préparer mes pâtes lyophilisées. J’avais prévu large et une tisane digestive fut bienvenue.

Pour vous renseigner ou réserver : ploner.dun@free.fr

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Le canal de l’Est à Troussey où il rejoint le canal de la Marne au Rhin.

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Point d’interrogation sur mon carnet de notes pour cette photo.

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Pharmacie de L’art nouveau à Commercy.

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La Meuse à Saint Mihiel, côté pile…

La Meuse à Saint Mihiel, côté face…

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In Les Paroches, habe ich Michael, einen österreichischen Radfahrer, getroffen.

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Ich unf mein fahrrad, vor der  Kirche von Les Paroches

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Sur la route vers Verdun

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 Sur le plateau.

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Un des huit « carrés » du cimetière américain de Romagne-sous-Monfaucon.

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Le clocher de l’église de Dun

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La vallée vue de l’église.

Topo :

Cette étape est la plus longue avec près de 150 km. Il fallait rattraper la distance plus courte parcourue le 1er jour.

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Vers la 4ème étape.

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Cyclotourisme

Vélo en Vénétie

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Les collines Euganéennes, point de mire du cycliste de plaine et terrain de jeux des grimpeurs

Ces vacances en Vénétie ont été l’occasion de découvrir un terrain tout à fait propice à la pratique du vélo, plus particulièrement la région de Padoue dans laquelle nous résidions.

Petit point de situation tout d’abord pour situer l’endroit. Padoue se trouve à l’est de Milan et à proximité de Venise.

Pour tout dire, cette partie de la Vénétie présente de nombreux points communs avec la Flandre. Tout d’abord une immense plaine, striée de fleuves et de canaux, des terres inondables entourées de digues. Et puis, surgies de nulle part (en fait de phénomènes volcaniques), les Collines Euganéennes que l’on aperçoit à des kilomètres à la ronde, avec des côtes raides et même des pavés.

Certes le pin sylvestre ou le châtaignier sont plus présents que le houblon et nos Monts des Flandres demeurent modestes au regard des quelques 500 mètres d’altitude atteints par les cimes les plus hautes, mais je trouve que tout ceci garde un air de famille.

Une forte activité cycliste est une autre caractéristique partagée avec notre région. Il est vrai que le terrain se prête à la pratique de tout niveau, de la ballade familiale en suivant les chemins de halage, à la pratique sportive avec des pentes qui offrent des pourcentages à deux chiffres. De nombreuses voies vertes existent, longeant les voies d’eau.

Le vélo constitue un bon moyen de visiter les nombreux monuments, villas, églises, jardins et autres curiosités de cette région au riche passé, d’autant que de nombreux trains permettent l’acheminement des vélos.

Pour vous y aider un guide très bien fait, intitulé Padova e provincia in bicicletta propose 14 promenades, excursions, à partir de Padoue ou des villes environnantes. Description des itinéraires et des centres d’intérêt, cartes détaillées, photos, cotation de la difficulté, indication des gares pour un parcours train plus vélo font de cet ouvrage un outil complet pour randonner. Une trace GPS est disponible pour certains parcours.

Vous pouvez vous procurer ce guide en écrivant à promozione@turismopadova.it ou sur place l’obtenir dans les offices du tourisme. Il est disponible en plusieurs langues dont le français. Il est consultable sur le site http://www.amici-della-bicicletta-pd.it/ rubrique Biblioteca.

Quelques photos pour vous donner peut-être l’envie d’aller y pédaler.

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 Non ce n’est pas un terril, malgré le temps brumeux

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Petite pause entre amis

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Non ce n’est pas de la grenadine, que l’on trouve parfois lors des ravitaillements que boit ce cyliste mais du Spritz, apéritif typique de la Vénétie dont la composition varie selon les lieux. La plus couramment rencontrée est 1/3 de vin blanc, 1/3 d’eau gazeuse et 1/3 de campari.

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De nombreux chemins en site propre bordent les cours d’eau. Parfois macadamisés, ils peuvent par endroits être difficilement praticables avec des pneus de 23 C.

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L’eau omni présente dans la plaine du Po et dans les Collines, haut lieu de thermalisme.

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Halte reposante au sanctuaire du Monte Della Madona (quelques jours avant pour le 15 août, la foule était dense). Situé à 526 m d’altitude, le lieu offre un large panorama sur la plaine. La montée est plutôt costaud avec de nombreux passages qui dépassent les 10%.

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Pour autant que le lieu soit peu fréquenté on ne peut pas dire qu’il n’y ait pas un chat.

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Dans la descente du Monte della Madonna.

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Les villas des riches familles vénitiennes ne manquent pas d’allure. La Villa Barbarigo Pizzoni offre derrière cette modeste entrée un remarquable jardin baroque.

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Située sur la Brenta, la villa Pisani, que l’on peut également atteindre de Padoue, vaut le détour. Ceci n’est en fait que les écuries.

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Voici la villa.

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 Une autre villa entre Monselice et Este.

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Près de Battaglia Terme.

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Non ce n’est pas Venise mais Chioggia, petit port au sud de la Lagune, que l’on peut rejoindre à vélo de Padoue en suivant l’ancienne voie du Sel et du Sucre.

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Bricoleurs de tous les pays…