La grisaille, bien présente durant cette matinée, ne put pour autant affadir cette Pat Lys 2019 proposée par Lys cyclos.
SI le temps ne fut pas aussi radieux que le dimanche précédent, il ne plut pas. C’est la façon positive de voir les choses.
Cette météo médiocre n’empêcha pas de goûter les circuits proposés qui enchainaient des terrains variés dont plusieurs secteurs pavés. Si ça « collait » un peu par endroits, le parcours (le 55 km en tout cas) était plutôt roulant.
Les flèches jaunes sur fond bleu étaient bien visibles malgré la brume et complétées par un balisage au sol.
Le temps sec permit quelques photos. Un début de traitement tardif m’a fait opter pour une mise en ligne en deux épisodes. Le premier plutôt court s’arrête au premier ravitaillement. Le second sera un peu plus abondant.
Du monde à 8h00 alors que le jour point à peine. Certains sont déjà partis pour le 70 km…
… d’autres prendront le temps d’un café avant de partir.
C’est sûr que leur maillot à fusée de Tintin fait envie.
Bracelet anti-resquilleur. Si, si, on en rencontre malgré le prix modique demandé.
Hélas, pressé par le temps j’écourterai le 55 km en prenant le chemin de la maison via le Lac du héron après le ravitaillement de Tressin et ne dégusterai pas ces délicieuses saucisses.
A l’extérieur, le stand saucisse se met en place.
Un secteur pavé montant mais bien roulant.
Premier ravitaillement.
Pas de chance pour Freddy victime d’une crevaison.
Le pavé de Vertain, un des lieux emblématique de Paris Roubaix.
Fin de cette série avec des photos prises au ravitaillement de Bouvines, sur les secteurs pavés conduisant au Carrefour de l’Arbre et enfin au Vélodrome. Je commence à sentir les effets du vent contraire et suis moins tenté par des haltes photographiques.
Pavé et moulin en arrière plan est la perspective préférée, même si le positionnement du soleil favorise les contre-jour.
Comme le dira un des ces cyclistes, « faut pas s’arrêter trop longtemps ».
Le secteur pavé qui part du moulin nous attend et le ravitaillement de Bouvines n’est plus très loin.
Ravitaillement précédé d’un court tronçon pavé récemment refait. Rien de bien méchant donc, d’autant qu’il descend.
Ravitaillement animé.
Ambiance estivale côté couvre-chefs.
Philippe, responsable du ravitaillement, donne le ton.
Michel au stand technique…
… aura consommé tout son stock d’huile. Les chaînes « chantent » après 100 kilomètres, malgré un terrain plutôt sec.
Encore ou plus que 32 kilomètres, selon la forme.
Direction, à gauche toute, pour rejoindre le Carrefour de l’Arbre, par des détours… pavés bien sûr.
Dernier regard sur l’église Saint Pierre de Bouvines au profil si caractéristique.
Le Carrefour de l’Arbre n’est plus qu’à quelques coups de pédales.
Troisième partie de ce raid avec, pour débuter un tronçon qui en aura fait jurer plus d’un. Mais on ne fait pas de VTT sans risquer de se mouiller les pieds, au moins dans le Nord.
Ce sera le seul passage vraiment mouillé mouillant du parcours, les autres zones humides se limitant à des flaques.
Si lors de la reconnaissance certains purent marcher ou rouler au sec sur les bords ce tronçon…
… la croissance de la végétation rendait la chose délicate, voir impossible et mieux valait opter pour le VTT amphibie.
Je regrette de n’avoir pas davantage exploité cet angle de prise de vue.
Retour au sec.
Direction Mastaing…
… où un secteur pavé passe non loin de la centrale de Bouchain et de son imposante tour aéro-réfrigérante de 125 mètres de haut.
Marquette en Ostrevent, lieu du premier ravitaillement, n’est plus très loin.
David nous y attend qui, une fois le dernier participant passé, conduira la voiture balai.
Jacques, responsable du ravitaillement dans une délicate opération d’approvisionnement…
… réussie.
Les cyclistes arrivent en flux continu…
… mais les bénévoles font face.
Tamponnage des cartes.
Atelier mécanique.
Problème de pédale.
Nuages et vent rendent la tâche difficile pour le photographe la luminosité changeant à tout instant. Résultat, des photos lumineuses et d’autres plus ternes.
Est-ce cette vététiste qui mène le train pour ces trois gaillards du CC Wavrin ou sont-ils sur le point de la rattraper ? Je vous laisse le soin d’imaginer la fin de l’histoire qui vous plaira.
Fin du secteur pavé de Gruson. Un dernier secteur attend les coureurs, si l’on excepte le minuscule tronçon précédent le vélodrome.
Le secteur de Gruson qui suit le Carrefour de l’Arbre est propice aux photos car moins fréquenté que le précédent et présentant l’avantage d’une bonne exposition. Il est par contre un peu moins spectaculaire, les coureurs empruntant plus volontiers les larges bandes terreuses qui le bordent.
Quelques photos d’ambiance et des coureurs. Tous, ou presque, auront leur place, des premiers aux derniers. On ne peut que regretter que le public n’attende pas la fin de la course et surtout occupe la chaussée sans trop se préoccuper, pour certains, des retardataires.
Une fois de plus, j’ai commis un acte manqué en ne vérifiant pas que je m’étais bien positionné sur la prise de vue en rafale. J’ai été ainsi pris au dépourvu lors du passage des premiers. J’avais cette année, en utilisant une patte de fixation de micro, fixé un second appareil destiné à la vidéo. J’ai pu extraire quelques vues pour compenser ce manque.
Un drapeau belge prémonitoire flotte sur la plaine.Mais d’autres pavillons battent au vent.Culture citadine ou abolition temporaire du raisonnement liée à une absorption excessive de bière? Tout ce qui est vert n’est pas du gazon.Les bords du secteur pavé qui conduit au carrefour de l’Arbre commencent à se remplir.La caravane passe mais la sono fait que l’on entend pas les chiens aboyer.Les coureurs sont à Pont à Marcq.Ce qui est bu n’est plus à boire.Le début du secteur de Gruson. Vendredi il était emprunté par la Nuits des pavés, organisée par le VC Roubaix.L’église de Bouvines se détache sur l’horizon.Hélicoptère en vue. Les choses se précisent.Elles se précisent de plus en plus.Nils Politt vient d’attaquer, il se retourne pour évaluer l’écart.Philippe Gilbert et Peter Sagan au premier plan.Yves Lampaert.… et tous les autres qui suivront. Deux cadrages pour cette photo… Vae victis… la course n’est pas terminée mais le public reflue sans attendre les derniers et occupe tout la chaussée… … obligeant les coureurs attardés à slalomer parfois dangereusement. Assurément, ce n’est pas la même machine. Ce n’est pas la voiture balai, comme pourrait le laisser penser la remorque porteuse de vélos. Voici le dernier arrivant, la voiture de fin de course passant peu après.
En attendant la nuit, effets de lumière sur l’église Saint Pierre de Bouvines.
Suite de cette Nuit des pavés qui n’en est qu’au crépuscule, toujours sur le premier secteur pavé.
Court arrêt pour une photo de groupe…… et c’est reparti.On longe cette belle ferme à cour carrée, pour rejoindre la Marque, non sans avoir pris le temps d’admirer son porche au fronton ouvragé.Photo d’archive, comme il est d’usage de le préciser.Gros plan sur la chaine et ses ondulations.Celle-ci est pas mal non plus.Nouveau passage, après un retour au stand pour ennui mécanique.Il est temps d’aller faire un tour du côté du carrefour de l’Arbre qui doit être fréquenté.