Le terril de Grenay est sans doute le clou de cette Terrible, tant par le tracé exigeant que par les panoramas qu’il offre. Ici les terrils du 11/19 de Loos en Gohelle.
La Terrible a tenu ses promesses, du moins en ce qui me concerne, me forçant à mettre pied à terre plus souvent qu’à mon gré. Les deux principaux terrils comportaient leur lot de raidillons assassins.
Beau parcours donc que ceux proposés par le Club Léo Lagrange VTT de Beuvry.
Du dénivelé et des paysages, que souhaiter de plus? Des monotraces? Il y en avait également au gré des sinuosités de l’itinéraire.
Le terrain bien gras n’était boueux que par endroits.
La pluie annoncée était allée voir ailleurs s’il faisait beau, seul le vent jouait par moment les trouble-fête. Mes lunettes jaunes estompèrent la grisaille.
Le fléchage était de qualité et les ravitaillements également.
Randonnée bien organisée, à conseiller.
J’avais bien rechargé la batterie de mon appareil photo et n’avait pas oublié de remettre la carte mémoire. La suite en images.
Cette fois, je n’ai pas oublié de déclencher mon GPS (merci au participant que j’ai vu le faire) ni n’ai effacé la trace prématurément comme en 2020. Je peux donc vous proposer celle du 45 km sur Openrunner.
4 parcours de 20 – 35 – 45 – 55 km. Je choisirai le 45 qui comportait l’ensemble des terrils, le 55 n’ajoutant que de la distance. La suite m’a conforté dans mon choix, 45 km suffisaient.
Le parc de la Loisne procurait une première mise en jambes.
Un court raidillon qui en annonce d’autres plus corsés et permet de monter en température.
Après être monté, ,il faut descendre.
Ravitaillement au pied des pistes.
Ca mérite une photo souvenir.
Ceux qui portaient ce maillot avaient l’air plus cordiaux et pacifiques que leur redoutable mascotte.
Ca passe ou ça casse ? Je vous laisse choisir la fin selon votre humeur.
Sur le terril de Grenay
Une des nombreuses monotraces rencontrées sur le circuit.
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Beau temps et beaux parcours, une réussite pour cette Annaysienne qui faisait son retour au calendrier après deux ans d’interruption.
Ma dernière participation remontait à 2019 et à consulter mes archives, il apparaît que les conditions météo furent identiques cette année, un temps sec mais froid.
Le CC Annay avait tout prévu pour nous réchauffer avec des parcours animés. Trois terrils étaient au programme avec chacun leur lot de montées et descentes. Assez vite on grimpait en température malgré le vent du nord plutôt soutenu. Le soleil, généreux, apporta également sa contribution.
De nombreuses mono-traces jalonnaient le circuit et exploitaient au mieux les ressources du terrain.
Le dernier terril fut, de mon point de vue, le plus exigeant avec un tracé sinueux faisant alterner à bon rythme creux et bosses aux pentes bien raides. N’étant pas un grand descendeur, je ne pus profiter pleinement de la vitesse acquise et dus d’autant mouliner et appuyer sur les pédales dans les remontées, calant deux ou trois fois en haut de la pente.
Le fléchage était irréprochable en matière directionnelle. L’utilisation exclusive de la peinture verte sur les chemins, prairies et terrils était je trouve plus discutable en termes d’environnement.
Cette remarque étant faite, l’Annaysienne mérite son succès de fréquentation et est à conseiller.
Des photos, il faillit ne pas en avoir. Ayant choisi un emplacement bien exposé tant pour les prises de vue que pour le bien-être du photographe, je dus constater à la première tentative que j’avais une fois encore oublié de remettre la carte mémoire dans l’appareil.
Heureusement, mon téléphone me permit de pallier cette étourderie, la configuration des lieux facilitant une prise de vue rapprochée.
La trace du 45 km disponible sur Openrunner. Les traces fournies par le club pour tous les parcours sont également accessibles sur Openrunner.
Dès 8h00 les participants sont nombreux.
Plusieurs distances proposées et traces GPX téléchargeables par QRcode.
Pas mécontent d’être arrivé tôt.
Les Renards des sables qui recevaient la semaine dernière étaient au rendez-vous
Comme souvent, les photos ne rendent pas pleinement compte de la rudesse de la pente.
Sortie d’un des nombreuses mono-traces que comportait le parcours.
Premier ravitaillement avec une mention spéciale pour le pudding généreusement parfumé au rhum.
Zone de lagunage.
Le second ravitaillement, victime du succès de la manifestation sera uniquement liquide à l’heure de mon passage. Pas de pudding au rhum.
A l’arrivée il faut franchir l’arche pour accéder au ravitaillement….
… et être un peu patient mais soupe et saucisse chaudes, boissons et tombola nous attendent.
Belle fréquentation.
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Les terrils en paysage pour ces Défis de la Sainte Barbe d’Hénin Beaumont.
Le VTT n’était que l’un des défis de la Saint Barbe, au départ d’Hénin Beaumont. Marche et course étaient également au programme.
Ceci explique sans doute cela, car le parcours était plutôt gravel que VTT. La traversée du terril d’Evin-Malmaison et de ceux de Sainte Henriette (je sais maintenant comment y parvenir) n’ont sans doute pas rassasié les amateurs.
Mais qu’à cela ne tienne, le tracé à défaut d’être technique était champêtre et nous avons pu pleinement profiter de l’ambiance vivifiante qui soufflait sur la plaine.
Un peu de soleil eut été le bienvenu pour nous réchauffer mais aussi éclairer des paysages automnaux. C’était également le voeu du photographe qui, travaillant sans flash, fut un peu démuni pour déboucher les ombres, fruits du manque de luminosité. En la circonstance, il fit ce qu’il put.
C’est sûr le vététiste n’aime pas l’eau (et pas seulement sur les chemins).
J’ai pu cette fois-ci encore jouer les bons samaritains en gonflant le pneu de cette jeune pratiquante, partie avec son groupe sans vérifier que l’un deux avait bien pris la pompe.
Trop court passage en terril.
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Départ sous le soleil pour cette Orchésienne qui fut finalement épargnée par la pluie sauf en toute fin de matinée.
Si la nidification vint contrarier le traceur du CC Orchies pour La Printanière, ce fut la chasse qui fut cause de changement d’itinéraire pour cette Orchesienne, un passage dans la forêt de Marchiennes n’ayant pas été autorisé.
Fort heureusement, on ne chasse pas sur le terril de Rieulay et cette année encore il fut un agréable terrain de jeu mêlant monotrace, petites et grandes bosses, cheminement en sous-bois et voies plus dégagées.
Les organisateurs avaient prévu de le rendre accessibles à tous et à certains endroits deux options étaient possibles. Seule récrimination, le recours à l’anglais pour les différencier. Ainsi donc, par une perversion langagière que je réprouve et que je m’emploie à stigmatiser, facile est devenu cool et difficile, hard. L’investissement en signalétique qu’imposerait un retour à l’orthodoxie étant modeste, souhaitons en 2023 voir les F et les D remplacer les C et les H.
Ce sera le seul reproche formulé. le fléchage horizontal et/ou vertical était bien adapté et le ravitaillement varié et copieux.
Le reste du cheminement faisait emprunter secteurs, pavés chemins agricoles, chemins de halage et voies vertes. De quoi profiter des couleurs et ambiances automnales.
Je ne fus pas cette fois trahi par la technique et pus saisir, sinon tous, une partie des participants. Des photos à suivre donc.
La disparition des contraintes sanitaires vint considérablement alléger la tâche des bénévoles à l’accueil au regard de l’édition 2021.
Accueil souriant et bien organisé, comme nous en avons l’habitude à Orchies.
Lien vers les traces GPS.
La trace du 50 km que j’ai suivie.
Freddy et Philippe partis de bonne heure.
Ils ne sont pas les seuls. Je patiente donc.
Nous voici dans la montée qui donne accès au terril de Rieulay. Rien d’affreux, mais il faut quant même pousser sur les pédales.
Un peu plus loin, une monotrace plaisante.
Autre passage proposant un enchaînement de bosses.
Renard fourvoyé, tel est sans doute son totem. Il aurait du arriver par la gauche. Mais tous les chemins mènent à Rome.
Il suivait Renard fourvoyé.
Il n’a pas suivi Renard fourvoyé.
Un signaleur était là pour éviter aux cyclistes non anglophones de devoir sortir leur traducteur automatique et leur permettre de choisir entre facile et difficile.