La nuit et les pavés sont là, à l’approche de Bouvines.
Voici donc la dernière partie de cette trilogie. Comme indiqué au début, les prises de vues nocturnes ne permettent pas toujours de reconnaître les sujets, mais traduisent davantage l’ambiance de cette randonnée.
Quelques photos sur le tronçon entre Bouvines et Gruson, que j’emprunte à contre-sens pour rejoindre le carrefour de l’Arbre.
Un des premiers partants…
… manifestement heureux d’être là…
… et le papa également.
Plusieurs s’arrêteront pour admirer ce coucher de soleil flamboyant.
Au carrefour de l’Arbre, deux signaleurs sont postés pour aider à traverser la départementale. Ils n’ont pas eu très chaud.
Signalétique de Paris Roubaix et de la Nuit des pavés cohabitent.
Une crevaison, mais le groupe là pour aider à la manœuvre.
Tentative de prise de vue à la lumière d’un projecteur. La technique est prometteuse mais demande pour de meilleurs résultats au moins une seconde source lumineuse et un objectif disposant d’une plus grande ouverture. A étudier d’ici l’an prochain.
Jean-Michel prend des allures d’extra-terrestre.
Jean-Louis du VC Faumont, reconnaissable malgré le flou.
Fin des photos sur le parcours et retour à l’accueil.
Ils sont trois, mais tels les mousquetaires…
… un quatrième règle le retardeur…
… et les rejoint pour la photo.
NB : la référence aux Trois Mousquetaires porte, bien sûr, sur le nombre et non sur le réglage du retardateur. Si A Dumas commit un anachronisme en faisant traverser à ses héros un champ de pommes de terre, il n’alla pas jusqu’à les faire se photographier.
Une belle balafre qui démontre que casque et lunettes ne sont pas complètement inutiles dans la pratique du VTT.
Content que l’on ait retrouvé ses lunettes.
Catherine en termine.
Manifestement contente de sa randonnée.
Patrick, qui a conçu le parcours, en flagrant délit de gourmandise.
Jean-Louis, au centre, plus net une fois à l’arrêt.
Le rangement est déjà bien engagé, mais il reste une table et des victuailles pour les arrivées tardives.
Le dernier arrivant, le voici.