Suite en photos de cette randonnée, nous retrouvons le secteur pavé situé juste avant la bifurcation entre les circuits de 35 et 50 kilomètres.
Un pédalier qui se dévisse. C’est pour le moins fâcheux. J’espère que ce cyclo a pu rentrer à bon port sans trop de difficultés.
A droite, c’est le 35…
… tout droit le 50. Il n’est pas encore 10h00, j’opte pour le 50.
Peu après la bifurcation, nouveau tronçon bien exposé après un virage à 90 degrés.
La sortie du tunnel.
Sympathique facétie de saison, un tunnel fantôme était organisé au franchissement d’un échangeur entre Curgies et Saultain. Signalé par des têtes de morts et de funestes croix porteuses de casques noirs, ce tunnel boueux, que les deux issues ne permettaient pas d’éclairer, était plongé dans un noir profond et habité par un peu visible fantôme à la voix caverneuse accompagné à chaque extrémité de personnages inquiétants.
Une avenante doctoresse attendait les survivants.
Dernière séquence de prise de vues.
Les participants se font rares et l’heure tourne, il est temps également pour moi de rejoindre l’arrivée.
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Temps sec mais venteux pour cette édition 2021 du Raid des trois vallées qui permit de profiter des paysages automnaux.
C’est avec plaisir que je retrouvai ce dimanche le Raid des trois vallées.
Changement d’ambiance pour cette édition, car les incertitudes liées à la situation sanitaire avaient conduit le Vélo Club de Saint Saulve à retenir un parcours se déroulant exclusivement en France, nous privant ainsi des sinueux et ludiques tronçons tracés les années précédentes dans le bois d’Angre.
Pour autant, le circuit de 50 kilomètres ne manquait pas de charme nous faisant emprunter chemins agricoles et plusieurs secteurs pavés. Comme en atteste le profil du dénivelé, ce n’était pas complètement plat et le vent, en terrain souvent découvert, ajoutait un brin de difficulté. Fort heureusement il fut plutôt favorable sur le retour.
Malgré les récentes pluies les chemins étaient en majorité praticables sans boue excessive. Merci à ceux qui, pour la photo, ont vaillamment et joyeusement franchi sans barguiner quelques flaques imposantes, produisant de belles gerbes d’eau. Certains, j’en suis désolé, n’en seront pas récompensées, les photos étant trop floues pour être publiées.
Comme d’habitude, tout était bien organisé. De nombreux signaleurs étaient postés aux intersections avec des voies de circulation fréquentées et le balisage de qualité. Les consignes sanitaires furent strictement respectées, ce qui nous priva de ravitaillements, mais nous fûmes dotés de barres de céréales. Le traditionnel sandwich/boisson, fut lui maintenu.
Merci donc aux organisateurs et aux bénévoles d’avoir dépassé les contraintes sanitaires pour nous permettre de nous retrouver.
Retour pour moi au savant dosage entre pratique du vélo et photo. Trouver les bons endroits et les bons moments et ne pas arriver trop tard.
La trace, que vous pouvez retrouver sur Openrunner en cliquant sur l’image.
Rien de trop méchant en matière de dénivelé mais, l’air de rien, ça monte et ça descend.
Contrôle du Passe sanitaire à l’entrée et port du masque dans la salle.
Vue satellite du parcours.
Ô la gourmande.
Le club d’Escaudain qui avait fin août organisé également une sympathique nocturne était bien représenté.
Fléchage vertical et peinture au sol par endroits ne laissaient pas de place au doute. Quant au panneau Danger, il vous faudra attendre la seconde partie de l’article pour en connaître la raison.
Une fin de chemin montant avec le soleil de face, une halte photo s’impose.
Le clocher à bulbes de l’église de Sebourg.
Suivons les pour la suite de ce circuit.
Avec un tronçon franchement humide, que certains choisissent de contourner …
… et d’autres de traverser.
On pourrait intituler cette photo « Trouble mutuel ». Sans doute est-ce ma présence qui a déstabilisé cette cycliste, mais je ne suis pas en reste côté trouble car la photo est floue.
N’en déplaise au feu Cloclo, le lundi au soleil ça arrive parfois. L’occasion de randonner par routes et chemins dans la campagne flamande.
AVERTISSEMENT : Cette randonnée, bien que mise en ligne en novembre, a été réalisée avant le confinement.
Comme souvent, c’est l’occasion qui fait le larron et dans la circonstance la randonnée. L’opportunité de mettre mon vélo dans une voiture en direction d’Herzeele me fit imaginer un itinéraire de retour vers Lille. Ma saison VTT ayant débuté, j’optai pour un parcours privilégiant les chemins. Mais, difficile en introduisant la contrainte supplémentaire de rester en France de faire mieux que 25% de chemins, sauf à rallonger l’itinéraire en empruntant les berges de la Lys puis de la Deûle à partir d’Erquinghem-Lys.
Cheminement de type gravel donc plutôt que VTT, même si je l’ai réalisé en VTT. La partie la plus urbaine se situe entre Erquinghem-Lys et La Chapelle d’Armentières. Sinon, les routes empruntées sont à faible densité de circulation.
En quête de dénivelé, une variante franchissant le Mont des Cats est facilement intégrable.
Comme il se doit, la suite en images.
La trace disponible sur Openrunner
Pas grand monde sur la D17 en quittant Herzeele.
Premier chemin.
E pericoloso sporgersi, mais dans les virages c’est conseillé comme semble y inviter le panneau.
Le voile nuageux s’évacue progressivement et le Mont des Cats que l’on devine à l’horizon est déjà sous le soleil.
Des passages humides mais jamais rien d’affreux.
Le soleil s’affirme peu à peu.
Bailleul, perle de la Flandre intérieure.
Un banc au soleil sur la place de Steenwerck, idéal pour pique-niquer.
On rejoint la Lys peu avant Erquinghem-Lys.
Une option plus longue mais offrant davantage de chemin consiste à suivre la Lys puis la Deûle.
Impasse ?
Non, une fois passée la cour du centre équestre on retrouve un chemin.
Spectaculaire renversement d’une remorque et de son chargement de pommes de terre.
J’espérais pouvoir passer malgré les panneaux route barrée. Après hésitation, je préférerai faire demi-tour pour ne pas risquer l’accident, la pelleteuse étant en mouvement.
On retrouve la Marque à Marquette.
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De beaux secteurs pavés ponctuent ce parcours dont je ne sais s’il faut le qualifier de VTT ou de Gravel.
Désireux de changer de pâture, je jetai mon dévolu sur les environs de Saint-Amand les Eaux qui conjuguent forêts, canaux, terrils, secteurs pavés et chemins agricoles.
Dans le cahier des charges, aller en TER pour ne pas allonger inutilement le parcours avec des tronçons cent fois parcourus au départ de Lille et retour en vélo, car j’ai des scrupules à revenir en train avec un engin potentiellement très boueux.
Empruntant à une boucle au départ de Saint-Amand trouvée sur Openrunner, je la triturai et la complétai en sorte de parvenir à une distance adaptée à une randonnée à la journée.
Pour les costauds ou plus courageux que moi, deux terrils bordent le parcours que j’ai ignorés compte tenu de la distance déjà prévue et ne les ayant jamais pratiqués à vélo. Mais je reviendrai, avec une approche plus directe.