Lille Hardelot 2017, une édition, bien ensoleillée.
Lille Hardelot a-t-elle atteint sa taille critique. C’est mon avis au soir de ce qui demeure une belle randonnée.
Si la possibilité de partir dès 6h30, soit une demi-heure avant le départ officiel, a permis sans conteste de fluidifier le départ, contribuant également à le rendre plus sûr de mon point de vue, il n’en reste pas moins que 6700 cyclistes sur un même itinéraire cela finit par faire du monde.
Difficile donc de se sentir seul durant la première moitié du parcours, les pelotons ne s’étirant qu’avec les premières ascensions. sans que jamais la file ne s’interrompe vraiment. Sans créer de réels embouteillages, sauf en deux ou trois endroits particuliers, ce flot ininterrompu obligeait à plus d’attention, que ce soit pour s’arrêter ou doubler. A ce sujet, trop nombreux sont encore les cyclistes à rouler à deux voire trois de front, ce qui complexifie dépassements et croisements.
Autre signe d’alerte, l’accès aux ravitaillements, au moins les deux premiers plus la remise de la boisson et sandwich finaux, qui demandaient patience. Rien à dire côté approvisionnement, abondant et varié, même si le ravitaillement de Saint Omer était, lors de mon passage, un peu en difficulté.
Faut-il absolument chercher à réunir toujours plus de participants ? Quand bien même l’organisation serait parfaite, faire Lille Hardelot avec en ligne de mire les dos d’autres cyclistes n’est pas une perspective qui m’enchante.
Cette interrogation étant formulée, on ne peut que louer la qualité du parcours, tant pour son tracé que pour son balisage. Les paysages sont à la hauteur des efforts consentis, surtout lorsque le soleil est de la partie.
L’accueil et la disponibilité des bénévoles, accueil départ, signaleurs et ravitailleurs, est aussi à saluer.
Voici quelques photos d’ambiance prises au long de ce périple.
C’est sous un beau ciel pommelé que se déroulent les inscriptions.
Le vent qui en ce bel après-midi fait fort joliment battre les oriflammes…
… pourrait demain être moins plaisant.
Les numéros de plaques qui s’affichent sont au fil des ans de plus en plus impressionnants.
Fruit du hasard, l’accueil des 3000 premiers inscrits génère de longues files d’attente…
… alors que celui des 3000 suivants est facilement accessible ? Ou alors les premiers inscrits sont-ils tout aussi prévoyants dans le retrait de leur dossard, les autres faisant davantage preuve de nonchalance.
Entre musiciens et cyclistes, les couleurs s’accordent.
Peut-être encore un peu jeune pour Lille Hardelot.
Mais voilà de drôles de paroissiens…
… qui suscitent des regards circonspects.
Les aliens sont partout.
L’explication est vite trouvée avec, qui jouxte les stands de Lille Hardelot, un salon dédié à l’univers des jeux vidéo et autres récits de science-fiction.
Cet étrange créature…
… aurait sans doute un peu de mal à pédaler.
La belle et la bête version « Comics ».
Bon, bon, moi je reviens demain déguisé en cycliste pour le départ.
Cet accoutrement ne sera manifestement pas original. Déjà de nombreux aliens déguisés en cyclistes se pressent à 6h15 sous l’arche de départ.
Les bonhommes verts de Carvin sont au rendez-vous, se faisant photographier.
On est jamais mieux servi que par soi même.
Dans la série photo… madame et monsieur.
Les cyclistes de Saint Omer qui s’apprêtent à revenir sur leurs terres, lieu du deuxième ravitaillement.
6h16 à l’horloge de l’appareil photo… plus que 14 minutes avant le premier départ.
Montage de vélos pour ceux venus en bus.
Derniers ajustements.
C’est ici les Geek days ?
Et toujours des photos.
H-3 mn
Vite, vite une dernière photo.
Confirmation que l’enregistreur de puces est activé, c’est parti.
Lille Hardelot à la force des bras.
Traversée de la Grand Place quasi déserte de tout autre type d’occupant.
Encore un geek ?
Heureusement le vent ne fut pas contraire.
Des machines variées…
Difficile, compte tenu de l’orientation du parcours, de trouver des portions où nous roulons face au soleil.
Ravitaillement de Merville sur fond d’hôtel de ville.
Une formule intéressante qui répartit bien les stands.
Un mode de parking rustique mais qui a fait ses preuves.
Monsieur, cette fois-ci sans madame.
Une formule présente à tous les ravitaillement et efficace au moins pour les messieurs, je n’ai pas interrogé les dames.
Animation musicale.
Et toujours des photos…
Ce n’est pas Cedric et Corinne mais David et un coéquipier…
La suite, prochainement… la voici.