Le Steenmeulen constituait l’objet de cette sortie. On ne peut que confirmer l’invitation de l’affiche : Visitez le.
Avec le mois de mars, les sorties journée du VC Roubaix Cyclotourisme reprennent.
Celle de ce jeudi, préparée par Francis, nous emmenait vers Steenvoorde et son Steenmeulen dont la visite était au programme ; 140 km au départ de Roubaix à travers la Flandre et les Weppes par des routes peu fréquentées.
La visite du moulin, commentée par un truculent meunier féru de technique, et de ses annexes mérite le détour.
Le temps couvert au départ laissa place ensuite à de larges éclaircies et un ensoleillement bienvenu, alors que l’air restait frais de par un vent soutenu par moments.
La trace accessible sur Openrunner.
Pause café à Steenwerck.
Cherchez l’erreur.
Si le ciel est désormais dégagé, il ne fait pas excessivement chaud.
Francis, l’organisateur du jour…
… qui en prime se charge de l’animation crevaison.
L’occasion pour certains de discuter…
… et pour moi d’admirer le paysage.
Heureusement que d’autres plus solidaires prêtent main forte.
Bon toujours pas fini ?
Non, non mais ça progresse.
Faute d’avoir vu une épine sournoisement fichée dans le pneu, une deuxième crevaison dans la foulée.
Arrivée au Steenmeulen.
Dont la cour regorge de vieilles machines en tout genre.
Une fois restaurés, c’est parti pour la visite.
Les ailes peuvent atteindre 120 km/h en vitesse périphérique. Il est prudent de baisser la tête.
Une visite très documentée.
Mais on peut, comme à l’école, regarder par la fenêtre tout en écoutant.
Le moulin tournait, comme en atteste le flou de l’engrenage.
Ces meules-ci ne sont pas destinées à faire de la farine mais de l’huile.
Une évolution par rapport à ce dispositif, sophistiqué mais moins efficace.
Le moulin est le royaume des engrenages, construits en bois.
Transformation de la rotation verticale des ailes en mouvement horizontal. A droite, la pièce de bois qui permet de freiner la rotation des ailes.
Le toit peu coulisser sur un rail afin d’orienter les ailes selon le sens du vent.
Ce qu’on appelle une échelle de meunier ?
Le blé est moulu entre deux meules horizontales. Un cerclage amovible permet de canaliser la mouture.
Système de régulation. La vitesse de rotation provoque l’écartement des boules et corrélativement permet au levier en bois de monter.
Le Mont Cassel à l’horizon.
Quelques vieux vélos …
… et de rutilants tracteurs.
Sur le chemin du retour, l’église Saint Wulmar de Eeck de style Hallekerque.
Saiily sur la Lys, on bascule vers les Weppes.
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Un beau parcours à travers la Flandre et sous le soleil.
Beau succès pour le BRM 200 organisé par le Vélo Club de Roubaix Cyclotourisme avec 148 participants.
Les bénévoles qui assuraient l’accueil eurent fort à faire devant un flux d’inscriptions un peu inattendu. Un(e) photocopieur(euse) récalcitrant(e), (Ah l’écriture inclusive…) rendit impossible l’impression de bulletins d’inscription supplémentaires, si bien que l’on dût utiliser ceux de la Nuit des pavés pour permettre à chacun de s’enregistrer. Mais tout fut bien qui finit bien et à l’heure dite les départs groupés prévus purent avoir lieu sans oublier personne.
A travers le Heuvelland, les Monts, la Flandre maritime, ce circuit offre des ambiances variées et nous fait passer par des lieux typiques et emblématiques des Flandres, justifiant tout à fait l’appellation de cette randonnée.
Les abords de Nieuwkerque, puis du Mont Rouge, de Watten et enfin de Bailleul offrirent un peu de dénivelé à un parcours plutôt plat et roulant. La côte du Ravensberg paraissait un peu raide après 160 kilomètres mais donnait accès à la plaisante route en balcon en direction d’Armentières et sa vaste perspective sur la plaine de la Lys.
Parti pour ne faire qu’une partie de ce brevet en prévision d’une rapide réfrigération dont je suis coutumier en cette saison, je parcourrai finalement les 200 kilomètres, réchauffé par un soleil généreux toute la journée et malgré un vent bien présent.
Quelques photos de ce parcours, mais sans cyclistes en action, car un départ relativement tardif et une allure de sénateur rendaient vaines toute tentative de prise de vues de cette nature.
La trace disponible sur Openrunner en cliquant sur l’image.
Malgré les perspectives météo plutôt encourageantes, il fallait néanmoins faire preuve de détermination pour affronter la température franchement basse en ce début de journée. Mais à sept heures, les vélos étaient nombreux aux abords du local du VCR.
Les propriétaires des dits vélos s’activaient, au chaud eux, en vue de leur inscription.
A droite, Robert en charge de l’organisation de ce brevet.
Régis et sa caisse, signe extérieur de sa fonction de trésoreier.
Anny et François à l’intendance.
Enregistrement simplifié pour les préinscrits sur HelloAsso, avec Gérard au scannage
Bertrand à la validation des cartes BRM.
Petite promenade de santé sans doute que ce 200 km pour un quelqu’un qui a fait le PBP.
Freddy qui mènera le groupe rapide prend néanmoins le temps d’un café.
Prévenu au dernier moment du départ du premier groupe, je n’aurai pas le temps de vérifier les réglages de mon appareil.
Un petit flou…
… et puis s’en vont.
Robert qui pilotera le second groupe a lui le temps de peaufiner sa préparation.
L’église de Westouter.
Un moulin, mais où?
L’église de Bambecque.
L’église de West-Cappel de type Hallekerque, comme la précédente et de nombreuses autres en Flandre.
Faut-il encore préciser qu’il s’agit du beffroi de Bergues?
Le canal de la Colme que l’on suit jusque Watten. Si le parcours officiel suit la route principale, sans doute appréciée par les rouleurs, je suggère pour ceux qui, comme moi, vont piano et sano d’emprunter la voie plus étroite mais totalement viabilisée jusque Loberghe. Circulation TRES apaisée.
25 km contre le vent et sans protection pour rejoindre Watten.
Après une raide montée, le moulin qui surplombe Watten, lieu d’un large panorama.
Bollezeele.
Esquelbecq.
Entre Steenvoorde et Flêtre, un cheminement légèrement vallonné ouvert sur les Monts de Flandres.
Le Ravensberg franchi, on suit une route en balcon qui domine la vallée de la Lys.
La lumière du soir invitait à des prises de vues, mais le jour tombe tôt et la boucle n’est pas finie.
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Un beau lever de soleil laissait espérer une Pat Lys bénéficiant d’un temps plus clément qu’annoncé, malheureusement il n’en fut rien.
Desservis par une météo plus qu’exécrable, les organisateurs de cette Pat Lys 2021 auront été bien mal récompensés de leurs efforts. 150 participants seulement ont fait le déplacement, ce qui est nettement inférieur à la fréquentation habituelle.
Côté protocole sanitaire, tout avait été organisé dans les règles : contrôle du Passe Sanitaire, port du masque, ravitaillements sous emballage.
Le balisage constitué de flèches jaunes sur fond bleu était bien visible.
Bref, tout avait été prévu pour que cette édition 2021 se déroulât de la meilleure façon. Les conditions que l’on peut qualifier d’hivernales vinrent un peu (beaucoup ?) gâcher la fête.
Prévoyant de parcourir le 55 km je me rabattrai sur le 35 km, aidé en cela il faut le dire par une bifurcation pas très visible, ce que confirmèrent plusieurs participants qui, comme moi, constatèrent parvenus au ravitaillement qu’ils avaient également manqué l’embranchement.
Mais ce serait de la mauvaise foi de ma part que d’en tenir rigueur aux organisateurs car je fus tenté, quittant le ravitaillement de couper court vers le lac du Héron pour rentrer chez moi.
Finalement, je persévèrerai, mais parvenu au 33ème kilomètre, trempé et transi, l’honneur étant à peu près sauf (j’aurai finalement parcouru plus de 50 km à partir de mon domicile), je bifurquerai vers Forest sur Marque. La pensée de retrouver humidité et froid pour rentrer chez moi après une pause à l’arrivée pesa beaucoup dans ma décision.
Merci aux organisateurs pour cette édition 2021 et bravo aux courageux qui auront parcourus les 55 km voire, j’en frissonne, les 70 km.
Ce n’était pas un temps à mettre un appareil photo dehors. Prévoyant, j’avais pris ma Gopro étanche. Elle servit peu, l’objectif étant rapidement maculé de gouttes. Mini reportage donc.
Belle éclaircie dans la montée de l’un des deux terrils de Grenay.
Suite en images de cette Randonnée de la Sainte Catherine.
Sortis du premier terril, direction Aix-Noulette par des chemins agricoles.
Ravitaillement que les participants au 46 km retrouveront sur le chemin du retour.
Jacques encore bien propre.
Philippe un peu moins.
Photo de famille.
Photo de groupe
Photo de copains.
Photo de ravitailleur.
Peu avant la séparation entre les circuits de 36 et de 46 km, un faux plat montant dont la pente, nous le verrons, s’accentuera franchement. Terrain bien collant.
Ce participant ne sourira plus très longtemps car à l’instant même où je le photographiais…
… sa chaîne rompait. Heureusement, il ne roulait pas seul et a pu réparer avec ses coéquipiers. Je ne l’aurais de toute façon pas laissé dans le désarroi étant muni d’un dérive chaîne et d’une attache rapide.
On devine que ça commence à se corser.
Confirmation.
Dans ce tronçon, l’absence de chaîne n’est pas vraiment pénalisant.
Ablain Saint Nazaire
Oui, oui, cette photo a été prise le même jour que les précédentes.
La descente du terril enchaîne descentes en pleine pente et lacets. Ici un passage tranquille.
Vue du second terril de Grenay. J’ai bien fait de ne pas prendre de raccourci.
On aperçoit l’église Saint Louis, l’arrivée est proche.
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