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Cyclotourisme Randonnées

Entre Somme et Normandie (1/5)

Difficile de résister à une telle invitation. De fait, le faible dénivelé rend cette voie accessible à tous.

Ce périple entre Somme et Normandie s’est en fait déroulé en deux temps.

En mai dernier, cherchant à faire des kilomètres en prévision de Paris-Roubaix VTT, Lille Hardelot et Lille Bray-Dunes, j’avais souhaité faire une longue randonnée pas trop lointaine mais qui me change quand même des habituels circuits de la région. La Somme m’apparaissait un bon compromis et, cherchant des circuits balisés, j’avais été séduit par la route verte reliant Forges les Eaux à Dieppe ainsi que par la route de la Côte d’Albâtre allant du Tréport au Havre.

N’ayant pu libérer que deux jours, j’avais parcouru un bout des deux itinéraires, réalisant une boucle au départ d’Amiens via Le Treport, Dieppe et Neufchatel en Bray

Décidé à compléter cette découverte partielle et à rattraper mon abstinence forcée de ces derniers mois, je me suis offert début septembre un week-end de trois jours avec comme tracé : Amiens, Forges les Eaux, Dieppe, Le Havre, Rouen.

Faute d’avoir eu le temps de rendre compte de ma première randonnée se posait la délicate question de savoir dans quel ordre le faire. Fallait-il suivre l’ordre chronologique ou démarrer par le plus récent, dont le souvenir était encore bien présent ?

Suivant en cela les conseils de ma femme, j’ai finalement opté pour une approche dernier entré, premier sorti. Mais faute d’avoir écrit d’un jet le texte, je me retrouve néanmoins confronté aux défaillances de ma mémoire pour retrouver la localisation de certaines photos. L’heure de prise de vue permet parfois, à partir de ma vitesse estimée, de pallier ces trous mais pas toujours.

Cinq épisodes sont donc prévus, le premier relatant le trajet Amiens – Dieppe, via Forges les Eaux.

Départ d’Amiens après un voyage en train. Je ne saurais trop vous conseiller cette formule qui permet moyennant un court trajet, une heure de train au départ de Lille, de démarrer tout de suite dans un environnement nouveau et très vite champêtre.

Direction sud-ouest vers Salouel et la vallée de la Selle. La route suit plus ou moins le cours d’eau, qui prend parfois ses aises et s’étale dans un paysage de bocages et de bois . A partir de Conty on longe ensuite la rivière des Evoissons tout aussi dilettante.

Le souvenir se fait ensuite imprécis. Des paysages verdoyants de prairies et forêts, des églises en pierre. La pente qui s’accentue un peu pour accéder à un plateau que l’on traverse pour descendre ensuite vers Forges les Eaux.

C’est de là que part la voie verte. Direction le casino. Il faut tourner à gauche avant le pont de l’ex-chemin de fer et rejoindre l’ancienne gare thermale aujourd’hui transformée en gite.

Ensuite, il n’y a qu’à se laisser guider en suivant l’ancienne voie ferrée, plutôt rectiligne. La seule difficulté en termes d’orientation se trouve sans doute à Serqueux, première bourgade traversée après Forges les Eaux, où le cheminement n’est pas complètement évident.

Cette voie verte en site propre, qui est une des composantes du projet Paris-Londres à vélo, devrait être prolongée au sud vers Gournay en Bray.

Le revêtement est de bonne qualité, parfois asphalté parfois chemin. Le parcours est riche de vestiges de l’activité ferroviaire. Outre les panneaux de signalisation, gares et maisons de garde-barrière réhabilitées, on croise égalementles PN (passages à niveau) et les PK (points kilométriques) qui indiquent les distances depuis la gare Saint-Lazare.

La vue est largement ouverte sur les coteaux qui bordent la Béthune (si si, c’est marqué sur la carte IGN).

D’Arques la Bataille, extrémité de la voie, on rejoint Dieppe sans difficulté.

A Bacouelle sur Selle, il faut quitter la route pour croiser cette église.

Calvaire à la sortie de Conty

Je n’ai pas retrouvé le nom du village où se trouve cette église.

Guizancourt

Vers Mereaucourt

L’église Saint Vaast – Agniere

Départ de l’avenue Verte à Forges les Eaux.

De nombreux vestiges de l’activité ferroviaire demeurent.

Équipements de signalisation…

Maisons de garde-barrières

Gares

 Une maison accueillante et un tout petit peu fantasque

 Le château d’Arques la Bataille, siège d’une bataille qui vit la victoire d’Henri IV contre le Duc de Mayenne, extrémité de la voie verte.

L’église Notre-Dame de l’Assomption,

Dieppe : immeuble bourgeois du front de mer

La jetée grouille de pécheurs.

Le parcours sur Openrunner :

Vous pouvez télécharger le topo de l’Avenue Verte en suivant ce lien.

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Cyclotourisme Randonnées

Moulins et kiosques en Avesnois

Le kiosque de Cartignies abondamment fleuri.

Mon été cyclotouriste n’aura pas été celui que j’avais imaginé. La semaine de randonnée que j’avais envisagée il y a quelques mois s’est réduite à une journée, la veille de ma reprise, pour cause de poignet convalescent.

Ceci étant, ces vacances m’auront néanmoins permis d’apprécier (de ma voiture) le potentiel cyclo-touristique de la Croatie et de la Slovénie, à fréquenter cependant en demi-saison sauf à être un amateur de sudations fortes. Car à la chaleur estivale, il convient d’ajouter parfois un relief qui fait se succéder montées et descentes avec des pentes qui flirtent souvent avec les 10%. De plus, la circulation doit être moins intense sur certaines routes, telle celle qui longe l’Adriatique. Mais que ce soit en bord de mer ou dans l’intérieur des terres, les beaux paysages et le dépaysement sont garantis.

Pour en revenir à des contrées moins exotiques, ce fut en consultant les topos édités par le CDT Nord que je choisis ma destination, l’Avesnois.

L’éloignement de Lille fait que, sauf lors de randonnées au long cours de type Lille-Valjoly ou 200 km, je ne m’aventure guère dans le sud du département. Le 200 km organisé au printemps par le CC Orchies m’avait donné l’envie d’une randonnée sur le thème des kiosques (1). Pas moins de quatre itinéraires sont proposés par le CDT Nord sur celui des kiosques et moulins à eau en Avesnois et en Thiérache, avec bien sûr la possibilité, moyennant quelques parcours de transition, de les combiner.

C’est ce que je fis avec les deux circuits intitulés « Moulins et kiosques des deux Helpes » et « Moulins et kiosques en Fagne de Sorle ».

Un parcours totalement cycliste au départ de Lille ne m’apparaissant pas réalisable je décidai de combiner train plus vélo avec Aulnoye-Aymeries comme gare d’arrivée.

Il est facile de rejoindre Saint-Rémy en Chaussée par la D 951 sur laquelle on finit par croiser un des panneaux indicateurs du circuit. De là, on peut suivre le premier itinéraire jusque Droulers, puis rejoindre le second à Floursies où l’on reviendra pour achever la boucle et regagner Aulnoye-Aymeries.

La distance couverte est d’environ 100 km pour un dénivelé positif de près de 1000 m. Après un mois sans vélo, je sentais un peu mes cuisses dans les dernières côtes menant à Aulnoye Aymeries.

Les deux circuits sont très agréables privilégiant les routes champêtres et donnant bien sûr à voir kiosques et moulins à eau, quoique pour ces derniers il faille un peu relativiser. Nombre d’entre eux sont des propriétés privées et, pour certains, à l’abri de clôtures ou de frondaisons qui font qu’on les entraperçoit plutôt qu’on ne les voit.

Le balisage est bien conçu mais il faut garder l’oeil sur le topo car se glissent une ou deux incohérences (2) et parfois des panneaux ont manifestement été ôtés (avant Dourlers). La qualité des routes est inégale et certains chemins communaux sont plutôt accidentés, cela peut être parfois un peu rude avec des pneus de 23 C.

J’ai retracé de façon approximative dans Openrunner les deux parcours enchaînés.

http://www.openrunner.com/index.php?id=2792423

Entre Wattignies la Victoire et Sorle le château l’itinéraire est inexact car la voie verte qui conduit à Sorle et que l’on prend à mi chemin entre Wattignies et Dimechaux, ne figure pas sur les fonds de carte, que ce soit Google ou IGN.

Vous pouvez bien sûr télécharger les deux topos (n°19 et 21) sur le site du CDT.

Une photo valant parfois mieux qu’une longue description, voici donc ce périple en images.

Premier moulin à eau croisé, celui de Taisnières en Thiérache, au bout d’un chemin interdit à la circulation de 22h00 à 6h00. Noctambules s’abstenir.

Non loin de là, je rencontre cet édicule, premier d’une série dont je saurai, une fois rentré, qu’il s’agit d’une potale, merci Wikipédia. Ce terme qui nous vient de Belgique désigne une niche contenant une statuette protectrice. J’en ai photographié quelques unes.

Entre Taisnières en Thiérache et Cartignies.

 Un autre type d’édicule peu familier pour le citadin.

Le soleil s’affirme peu à peu.

Vestige d’une activité brassicole ou publicité ?

Le kiosque de Cartignies…

et son moulin à eau …

que les vaches de la pâture d’en face peuvent contempler à loisir.

Le kiosque de Dourlers

Celui de Wattignies la Victoire

Le kiosque de Sars Poterie n’est pas extraordinaire et je n’ai pas vu le moulin à eau, à défaut deux photos d’enseignes

A noter la mention « Voitures d’enfants » en bas à droite.

Le long de la voie verte un peu avant Sorle le Château.

La grand place de Sorle le Château, où je pique-niquerai

Un de mes thèmes de l’année, « les tasses à café », encore peu exploité dans ce blog. Si vous souhaitez déjeuner ou boire un coup, je vous conseille de vous arrêter « Chez Nenette » sur la grand-place, dont l’accueil est à la hauteur de sa décontraction. J’ai regretté de ne pas l’avoir photographiée avec une petite famille de cyclos allemands pour laquelle j’ai tenté de servir d’interprète.

A côté de « Chez Nenette », ces fenêtres aux impostes ouvragées

Dernier regard vers Sorle en allant vers Hestrud

Kiosque de Cousorle

Eglise de Cousorle

Derrière ces arbres se cache un moulin à eau, tant pis pour lui, il n’aura pas l’honneur de figurer sur ce blog. A la place une photo de mon vélo doté d’un nouvelle sacoche de guidon pour transporter mon nouveau reflex. J’ai apprécié le porte carte.

Le calvaire de Foursies fraichement repeint

L’église

La fontaine

Le kiosque de forme parallélépipédique

Le profil altimétrique du parcours

  1. J’ai réalisé d’ailleurs en écrivant cet article que j’avais cité un topo sur ce thème et communiqué le lien (voir En route vers l’Avesnois – Avril 2013). Les parcours ne sont pas très différents de ceux du CDT mais paraissent plus complets s’agissant des kiosques visités.
  2. J’en ai repéré deux : la première à la sortie de Taisnières en Tiérache où il faut suivre la direction Marbaix et non celle indiquée par le panneau ; dans Sars Poterie, sur la variante longue, suive la direction Beugnies comme indiqué sur le topo.

NB : A Sars Poterie, en venant de Wattignies la Victoire il faut continuer droit vers Sorle le château et ne pas prendre l’option variante longue qui vous ramène vers Floursies.

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Cyclotourisme

Autour de Mons en Pevele

L’église de Mons en Pévèle, incontournable repère pour le voyageur sans GPS.

Sans vraiment y croire, je m’étais essayé samedi à tenir un guidon et même à enfourcher un vélo à l’arrêt. Le verdict fut sans appel, difficile d’imaginer faire un long trajet sans risquer de voir apparaître des douleurs au bout d’un moment et plus encore de ne pas savoir faire face à un changement de direction ou un arrêt subits.

Patience et longueur de temps… est devenu ma maxime du moment. C’est donc à pied que j’ai retrouvé des chemins empruntés cet hiver en VTT, le plus souvent dans la boue mais aussi sous la neige avec le Chicon Bike Tour. Les chemins étaient secs et les brunes étendues striées de sillons avaient laissé la place à une multitude d’épis ondoyants.

Mons en Pèvéle, du haut de son éminence, dominait un patchwork de verts où se découpaient les ramures plus foncées des bois et des haies.

Ce ne sont pas les itinéraires qui manquent et l’on peut à l’envi les combiner pour former des boucles plus ou moins longues au départ de Bersée, de Faumont ou Thumeries…

Cerise sur le gâteau, c’était dimanche de course cycliste à Pont à Marcq et nous vîmes passer le peloton bigarré de la Ronde Pévéloise.

Le reste en photos.

Le clocher de Bersée semble surgir derrière la forêt, fusée immobile porteuse de pacifiques ogives.

Le vert dans ses multiples nuances domine le paysage.

Quelques plants de pommes de terre jouent les dissidents …

… avec quelques épis précoces.

Les participants de la Ronde Pévéloise sont là également pour rompre la monotonie chromatique.

 

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Brevet Cyclotourisme

En route vers l’avesnois

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Paris-Roubaix et une semaine de vacances dans la région du Mont Ventoux (dont je rendrai compte dans les semaines à venir) m’ont conduit à différer la relation de cette sympathique randonnée. Un mois pratiquement est passé et mon souvenir se fait moins précis. Quelques photos sont là heureusement pour pallier les déficiences de ma mémoire.

Encore une belle randonnée à l’actif du Cyclo Club d’Orchies que ce 200 kilomètres en direction de l’Avesnois.

J’avais renoncé à faire la balade d’Antoine la semaine précédente et ne l’ai pas regretté car si le froid était aussi intense, le ciel avait retrouvé le bleu perdu ces derniers dimanches.

Je quitte Mons à 4h30 pour un départ à 6h00 à Orchies. La nuit est profonde et ma frontale tout juste suffisante hors agglomération. Peu de circulation à cette heure matinale. Quelques automobilistes tiennent manifestement les cyclistes pour quantité négligeable ne daignant pas passer en codes en me croisant, cela malgré mes signes leur indiquant qu’ils m’aveuglent. Cela leur vaudra de ma part quelques gènes obscènes dont pourtant je ne suis pas coutumier. Je doute que cela fasse changer leur pratique mais cela soulage.

Dans Genech, je ne trouve pas la route directe vers Orchies que j’avais repérée et, plutôt que de risquer de me perdre dans la campagne, je préfère assurer en faisant le détour par Mouchin. Ces kilomètres supplémentaires et une difficulté à retrouver le point de départ me feront arriver alors que le groupe s’ébranle, je ne le rattraperai pas.

Je m’inscris rapidement, tandis que l’on me sert fort obligeamment un café chaud. Une part de cake et je repars, avec une carte mais sans la feuille de route.

Je tâtonne pour trouver la route de départ et finis par faire mon propre itinéraire en direction de Warlaing.

La traversée de la forêt de Marchiennes alors qu’il fait encore nuit est un grand moment de bonheur riche d’odeurs, de chants d’oiseaux à l’approche de l’aube. L’entrelacs des branches dénudées se détache en contre-jour sur un ciel étoilé que l’on devine vierge de nuages. Je resterais bien jusqu’au lever du jour mais la randonnée ne fait que commencer et d’autres plaisirs m’attendent.

J’atteins Hornaing alors que le ciel rosit et poursuis ma route dans la fraicheur matinale, givrée par endroits.

L’itinéraire louvoie ensuite afin de nous éviter des zones trop urbaines et atteint Bouchain où, passé l’autoroute, la ruralité s’affirme.

Je me mets à fantasmer sur un arrêt à Solesmes avec chocolat chaud et tartines de Nutella. Las, une fois sur place je trouve pas de café sur mon chemin, même en faisant quelques détours, et continue en désespoir de cause. Mais mon organisme ne l’entend pas ainsi et sentant venir l’hypoglycémie, je m’arrête en pleine campagne pour manger mes tartines.

La route se poursuit sans encombre, avec un soleil généreux qui ne parvient pas toutefois à faire monter sensiblement la température. Il faut dire qu’un vent froid est bien présent et le sera encore plus quand l’itinéraire prendra la direction de l’est puis du nord-est où il devient franchement contraire. Le bord des routes est à plusieurs endroits exposés au nord encore couvert de neige.

Au Nouvion je fais une halte sur la place mais omet, faute savoir que c’était un point de contrôle, de faire tamponner ma carte de brevet. J’en ferai de même d’ailleurs à Sars Poterie.

Je repars pour m’arrêter quelques kilomètres plus loin, pour une halte photographique qui se transforme en pause déjeuner.

Jusque Sars-Poterie, il faudra pousser sur les pédales, le vent demeurant soutenu.

Le temps reste beau et malgré l’effort je profite pleinement des paysages.

Le dernier tronçon entre Saint Amand et Orchies et sans doute le moins plaisant, car empruntant une départementale où la circulation est dense. La bande cyclable de qualité inégale ne parvient pas à la faire oublier. Fort heureusement, le vent est alors favorable et cette partie terminale sera franchie à bonne allure.

Je tâtonne de nouveau, mais moins que le matin, pour retrouver le point d’arrivée où, Christian Théron et son épouse, fidèles au poste, m’offrent une soupe à l’oignon et un sandwich.

Je profiterai de la chaleur de leur accueil et du local pour attendre mon train qui part à 20h30 et les laisse avec en perspective une longue soirée, car d’autres participants engagés sur le 300 kilomètres ne sont pas là de rentrer au moment où je les quitte.

Le TER en direction de Lille est particulièrement plein et il me faut insister pour parvenir à trouver une place sur la plate-forme où sont déjà bien serrés nombre d’étudiants rejoignant la métropole.

En conclusion, un parcours très agréable et très varié, empruntant des routes secondaires, sans difficulté majeure en matière de dénivelé. Au delà du circuit, le cheminement pour traverser le Valenciennois en évitant des zones trop urbanisées est intéressant.

Le topo du parcours :

http://www.ccorchies.com/2013/randonneurs/BRM200-300/CCO_BRM200_2_2013.pdf

 

 

 

 

 

 

 

 

La lune éclaire vivement une forêt encore hivernale.

 

La luminosité est encore faible et oblige à des temps de pose longs qui procurent cet effet impressionniste.

La centrale électrique d’Hornaing dans le petit jour.

Le monument aux morts d’Abscon offre un autre type de posture, loin de celle très va-t-en-guerre de celui d’Orchies (Voir l’article « Quand les intempéries… » de mars.)

Eglise et Mairie de Solesmes, mais point de café.

Paysage de bocage typique de l’Avesnois.

Difficile de ne pas s’arrêter pour photographier ce calvaire qui manque à ma collection.

Celui-ci nous présente un Christ bien propret et dans une posture moins dramatique que d’autres croisés plus tard.

Voici de quoi perturber la géographie des nordistes.

Canal de la Sambre à l’Oise à Oisy.

A défaut de tampon, une photo prise au Nouvion.

Un moins propret et plus réaliste que le précédent.

Encore un autre genre avec ce monument aux morts près de Fontenelle.

Chapelle à l’entrée de Dourlers.

Mairie de Dourlers.

Kiosque à danser, Dourlers.

Pour ceux que cela intéresse, il existe un topo qui propose trois itinéraires pour découvrir les kiosques à musique et les kiosques à danser de l’Avesnois.

http://www.parc-naturel-avesnois.fr/wp-content/uploads/2012/10/kiosques_%C3%A0_musique_kiosques_%C3%A0_danser.pdf

Eglise de Berlaimont.

Une vieille enseigne de cycles à Fresnes sur Escaut.

On ne demande qu’à le croire.

Saint Amand dans la lumière d’une fin d’après-midi.