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Cyclotourisme Randonnées

Uffholz – Mons en Baroeul (3ème étape Maxey sur Vaise – Dun sur Meuse)

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La Meuse à Saint-Mihiel (Aquarelle – coll particulière)

25 août

Ce matin départ au sec, même si le ciel demeure couvert.

J’écoute avec délice le doux ronronnement de la chaîne désormais bien huilée et me souviens que traînent dans ma cave des fonds de bidons d’huile de moteur que je pourrais sans doute utilement recycler dans le graissage de chaîne. Ce pourrait être une protection efficace contre la corrosion due au sel pendant la période hivernale.

Mais bien que le temps de ces jours derniers permette d’en douter, l’hiver est encore loin, profitons de l’été.

Je poursuis ma route tranquille le long du fleuve.

Passage à Commercy dont je découvre qu’elle dispose d’un vélodrome.

A Mecrin, je constate qu’une route qui semblait coupée sur ma carte au 250.000 ème m’amène en fait directement à Brassettes. Une fois parvenu, un fermier m’indique un chemin communal qui file vers Ailly sur Meuse. Ces itinéraires bis m’évitent dix kilomètres sur la départementale qui mène à Saint-Mihiel. J’y fais mes courses et échange quelques propos vélocypédiques avec un charcutier cycliste.

Je reprends mon chemin et m’arrête aux Paroches pour pique niquer sur ce qui fait office de place de l’Eglise. Arrive alors un cyclo au long cours et nous engageons la conversation. Parti d’Amsterdam, il rejoint Lyon pour ensuite rentrer en Autriche après avoir travaillé 10 ans à Washington en tant qu’architecte. Je lui indique la route découverte le matin avec, par la suite, la crainte de l’avoir envoyé dans une galère car sa carte routière est encore moins détaillée que la mienne et il traine quand même un vélo de 45 kilos.

Nous nous prenons mutuellement en photo et échangeons nos adresses électroniques puis repartons chacun de notre côté.

La route vers Verdun est agréable sur une départementale pas trop fréquentée et avec un temps ensoleillé.

A Verdun, je quitte la vallée pour grimper sur le plateau de l’Argonne et traverser quelques lieux historiques de la guerre 1914-1918. Changement de rythme par rapport à ces deux derniers jours en plaine. J’observe des traces de la semaine fédérale de la FCCT, plusieurs communes ayant laissé leurs décorations « vélo ».

Le temps s’est couvert et le paysage est plutôt austère. Après un passage au mémorial américain de Montfaucon, je rejoins le cimetière américain de Romagne-sous-Monfaucon. C’est un lieu étonnant. Une longue pelouse bordée d’arbres sépare le domaine en deux, qu’une route, ouverte à la circulation, traverse de part et d’autre de la pelouse. Sur un des côtés, s’étend le cimetière. Deux rangées de quatre pelouses taillées court abritent des milliers de croix blanches alignées.

Malgré la route traversante, l’endroit paraît coupé du monde et hors du temps. Un calme éternel semble l’envelopper que rompent seulement tous les quarts d’heure sonneries aux morts ou airs yankees.

Le cimetière allemand situé quelques centaines de mètres plus loin est de taille et d’allure plus modestes.

J’amorce alors mon retour dans la vallée pour rejoindre Dun sur Meuse. Je suis scrupuleusement les indications de la logeuse et suit la direction de l’église du XIV éme siècle. La montée est rude et parvenu presque au sommet, je me dis que je vais me retrouver au pied du monument mais sûrement pas rue du Pape Etienne. Je redescends donc de l’autre côté, espérant trouver la rue attendue. Je me retrouve sur les bords de meuse et demande à plusieurs passants mon chemin. En vain, manifestement celle-ci est peu connue. Finalement, un plan de la ville trouvé au hasard des mes allées et venues me confirmera qu’il fallait persévérer. Je remonte donc la côte, petit plateau grand pignon, et finis par trouver la rue et la chambre d’hôtes. Située à flanc de coteau, la maison offre une large vue sur la vallée. La chambre est très confortable et l’accueil chaleureux. Voyant mon air dépité en apprenant qu’il n’est pas possible de cuisiner et qu’il faut redescendre et donc remonter pour se restaurer, mon hôtesse finira par me préparer mes pâtes lyophilisées. J’avais prévu large et une tisane digestive fut bienvenue.

Pour vous renseigner ou réserver : ploner.dun@free.fr

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Le canal de l’Est à Troussey où il rejoint le canal de la Marne au Rhin.

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Point d’interrogation sur mon carnet de notes pour cette photo.

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Pharmacie de L’art nouveau à Commercy.

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La Meuse à Saint Mihiel, côté pile…

La Meuse à Saint Mihiel, côté face…

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In Les Paroches, habe ich Michael, einen österreichischen Radfahrer, getroffen.

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Ich unf mein fahrrad, vor der  Kirche von Les Paroches

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Sur la route vers Verdun

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 Sur le plateau.

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Un des huit « carrés » du cimetière américain de Romagne-sous-Monfaucon.

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Le clocher de l’église de Dun

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La vallée vue de l’église.

Topo :

Cette étape est la plus longue avec près de 150 km. Il fallait rattraper la distance plus courte parcourue le 1er jour.

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Vers la 4ème étape.

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Cyclotourisme Randonnées

Uffholz – Mons en Baroeul (2ème étape Remiremont – Maxey sur vaise)

Au même moment, sur la côte méditerranéenne des baigneurs cherchent l’ombre du parasol.

24 août

Départ sous la pluie. Ce n’est pas le déluge mais je me félicite néanmoins d’avoir suivi les conseils de mon marchand de vélo et d’avoir acheté des sacoches Ortlieb imperméables. Elles sont par ailleurs très pratiques se clipsant sans effort sur le porte-bagage.

L’objectif du jour est de rejoindre la vallée de la Meuse, un peu au nord de Neufchâteau puis d’en suivre plus ou moins le cours.

De Remiremont il faut d’abord accéder au plateau. Une montée d’une vingtaine de kilomètres mène à Xertigny avec de longs passages en forêt où, en ce matin humide, se mêlent odeurs de fougère, d’herbe mouillée et de sapin. Le temps demeure maussade une grande partie de la matinée.

Je m’arrête à Remoncourt pour y pique-niquer la pluie ayant cessé. Je m’achète une tarte aux myrtilles avec le projet de la manger en buvant un café. Las, il me faudra y renoncer faute de trouver un café sur ma route. Le seul du village est fermé et à vendre et par la suite, les rares troquets croisés sont fermés pour cause de vacances. A emprunter des routes secondaires je réalise le nombre de villages qui ne disposent d’aucune boutique.

Le temps s’améliore progressivement et c’est sous le soleil que je parviens à Domrémy la Pucelle en compagnie de Mallet et Isaac et de Lagarde et Michard (1).

De fait c’est plutôt la deuxième paire qui m’accompagne car si j’ai tout oublié du bon roi que la Pucelle a rejoint pour bouter les anglois hors de France, me reviennent en mémoire les vers de Peguy que je tiens parmi les plus beaux dans mon anthologie personnelle de la poésie française.

« Adieu, Meuse endormeuse et douce à mon enfance,
Qui demeures aux prés, où tu coules tout bas.
Meuse, adieu : j’ai déjà commencé ma partance
En des pays nouveaux où tu ne coules pas »

Et de regarder la Meuse musarder en songeant à l’enfant qui, selon les indications historico-touristiques, emmenait paître les troupeaux pour son père, quand le tour de la famille était venu.

Cette rêverie passagère ne m’a pas fait oublier les nourritures terrestres que je transporte dans ma sacoche et me résous à manger sans café avant de reprendre mon chemin en suivant la rive droite. La route y sinue au gré des méandres de la rivière que l’on entrevoit par moments au centre de la plaine ou que l’on côtoie parfois.

En cette fin d’étape, mon plaisir est un peu gâché par le couinement de ma chaîne qui manifestement souffre d’un manque d’huile. Les averses rencontrées durant le trajet aller à l’arrière de la voiture ont du ôter une bonne partie de celle mise avant le départ et les récentes pluies ont achevé l’ouvrage.

J’arrive à Maxey sur Vaise, étape du jour, non sans éprouver une légère appréhension quand je découvre que le village borde une départementale assez fréquentée. Mes craintes ne seront pas fondées. Les premières maisons formant sans doute un mur antibruit efficace, le centre du village est des plus paisibles. Un ruisseau canalisé court au milieu de la Grand rue, rappelant le charmant village anglais de Burton on Thames.

Je trouve sans peine la chambre d’hôte située dans une énorme maison. La propriétaire me montre où garer mon vélo et je découvre qu’elle abrite également ceux de l’office du tourisme. Je n’hésite plus alors à lui demander un peu d’huile pour ma chaîne. « Je vais demander à mes enfants me dit-elle, je vous laisserai le tout sur cette table ». Promesse fut tenue et je trouvai sur la table un pot et un pinceau. Je mis un peu de temps à réaliser que ce m’était bien destiné car la viscosité de l’huile la faisait davantage ressembler de la mélasse qu’à celle au Teflon que je vaporise habituellement. Je me décidai néanmoins à appliquer la mixture et obtins de la propriétaire qui passait à ce moment là confirmation que je ne m’étais pas trompé. Je me gardai bien de lui faire part de mon premier étonnement et appliquai consciencieusement ce que je savais désormais être de l’huile.

Je vous recommande donc également cette chambre d’hôte tant pour son cachet, chambres qui sentent bon la campagne des années 50, évier en pierre dans la salle commune, mais sanitaires très modernes, que pour la qualité de l’accueil.

noisette.danielle@wanadoo.fr

(1) C’est à rédiger ce genre de note de bas de page que l’on s’aperçoit que l’âge est là. Donc, jeunes lecteurs, Mallet et Isaac étaient deux historiens qui ont fourni aux collégiens et lycéens français de plusieurs générations des manuels scolaires de référence. Lagarde et Michard ont fait de même pour la littérature.

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Voila une photo qui ne fera sans doute pas très plaisir au Comité Départemental du Tourisme des Vosges, pour autant qu’il ait un jour connaissance de cette publication.

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 Changement assez radical de dénivelé après la Route des crêtes. Je ne suis pas vraiment gêné par la circulation. 

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 Envoyer CV, lettre de motivation et prétentions. Une expérience dans un emploi similaire sera un atout.

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 En début d’après midi, le temps se dégage rendant les paysages moins austères.

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L’église de Domremy.

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La Meuse à Domremy.

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« Et pendant ce temps là, Meuse ignorante et douce,
Tu
couleras toujours, passante accoutumée,
Dans la vallée heureuse où l’herbe vive pousse… »

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La Grand Rue de Maxey sur Vaise.

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Itinéraire de l’étape 2.

Vers la 3ème étape

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Cyclotourisme

Vélo en Vénétie

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Les collines Euganéennes, point de mire du cycliste de plaine et terrain de jeux des grimpeurs

Ces vacances en Vénétie ont été l’occasion de découvrir un terrain tout à fait propice à la pratique du vélo, plus particulièrement la région de Padoue dans laquelle nous résidions.

Petit point de situation tout d’abord pour situer l’endroit. Padoue se trouve à l’est de Milan et à proximité de Venise.

Pour tout dire, cette partie de la Vénétie présente de nombreux points communs avec la Flandre. Tout d’abord une immense plaine, striée de fleuves et de canaux, des terres inondables entourées de digues. Et puis, surgies de nulle part (en fait de phénomènes volcaniques), les Collines Euganéennes que l’on aperçoit à des kilomètres à la ronde, avec des côtes raides et même des pavés.

Certes le pin sylvestre ou le châtaignier sont plus présents que le houblon et nos Monts des Flandres demeurent modestes au regard des quelques 500 mètres d’altitude atteints par les cimes les plus hautes, mais je trouve que tout ceci garde un air de famille.

Une forte activité cycliste est une autre caractéristique partagée avec notre région. Il est vrai que le terrain se prête à la pratique de tout niveau, de la ballade familiale en suivant les chemins de halage, à la pratique sportive avec des pentes qui offrent des pourcentages à deux chiffres. De nombreuses voies vertes existent, longeant les voies d’eau.

Le vélo constitue un bon moyen de visiter les nombreux monuments, villas, églises, jardins et autres curiosités de cette région au riche passé, d’autant que de nombreux trains permettent l’acheminement des vélos.

Pour vous y aider un guide très bien fait, intitulé Padova e provincia in bicicletta propose 14 promenades, excursions, à partir de Padoue ou des villes environnantes. Description des itinéraires et des centres d’intérêt, cartes détaillées, photos, cotation de la difficulté, indication des gares pour un parcours train plus vélo font de cet ouvrage un outil complet pour randonner. Une trace GPS est disponible pour certains parcours.

Vous pouvez vous procurer ce guide en écrivant à promozione@turismopadova.it ou sur place l’obtenir dans les offices du tourisme. Il est disponible en plusieurs langues dont le français. Il est consultable sur le site http://www.amici-della-bicicletta-pd.it/ rubrique Biblioteca.

Quelques photos pour vous donner peut-être l’envie d’aller y pédaler.

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 Non ce n’est pas un terril, malgré le temps brumeux

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Petite pause entre amis

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Non ce n’est pas de la grenadine, que l’on trouve parfois lors des ravitaillements que boit ce cyliste mais du Spritz, apéritif typique de la Vénétie dont la composition varie selon les lieux. La plus couramment rencontrée est 1/3 de vin blanc, 1/3 d’eau gazeuse et 1/3 de campari.

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De nombreux chemins en site propre bordent les cours d’eau. Parfois macadamisés, ils peuvent par endroits être difficilement praticables avec des pneus de 23 C.

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L’eau omni présente dans la plaine du Po et dans les Collines, haut lieu de thermalisme.

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Halte reposante au sanctuaire du Monte Della Madona (quelques jours avant pour le 15 août, la foule était dense). Situé à 526 m d’altitude, le lieu offre un large panorama sur la plaine. La montée est plutôt costaud avec de nombreux passages qui dépassent les 10%.

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Pour autant que le lieu soit peu fréquenté on ne peut pas dire qu’il n’y ait pas un chat.

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Dans la descente du Monte della Madonna.

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Les villas des riches familles vénitiennes ne manquent pas d’allure. La Villa Barbarigo Pizzoni offre derrière cette modeste entrée un remarquable jardin baroque.

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Située sur la Brenta, la villa Pisani, que l’on peut également atteindre de Padoue, vaut le détour. Ceci n’est en fait que les écuries.

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Voici la villa.

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 Une autre villa entre Monselice et Este.

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Près de Battaglia Terme.

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Non ce n’est pas Venise mais Chioggia, petit port au sud de la Lagune, que l’on peut rejoindre à vélo de Padoue en suivant l’ancienne voie du Sel et du Sucre.

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Bricoleurs de tous les pays…

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Brevet Cyclotourisme

Brevet de Leforest

 

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Le cimetière de la Targette à Neuville Saint Vaast

Agréable brevet que celui organisé par le Cyclo Club Leforest et qui plus est dépaysant pour un habitué des brevets de Lille et des villes avoisinantes. C’est en effet vers l’Artois que nous emmènent les quatre circuits proposés. Je n’évoquerai que le plus long, celui de 92 km, qui se décompose en trois tronçons, celui du milieu étant constitué d’une boucle à partir de Thelus. C’est la partie la plus pittoresque et la plus sportive du parcours. Quelques côtes intéressantes, notamment celles du Mont Saint-Eloi et de Notre-Dame de Lorette et, de ce fait, de beaux points de vue.

La température était plutôt fraiche le matin et j’ai regretté de n’avoir pas mis de gants plus épais ni de sur-chaussures. Mais bien sûr à midi la température avait pris quelques degrés et l’on roulait sans problème en maillot à manches courtes. A entendre les conversations, je ne suis pas le seul à connaître les affres du choix de la tenue vestimentaire permettant de faire face à de forts écarts de température. Cette année, j’ai essayé, en ce début de demi-saison, l’association tenue pelure d’oignon et sac à dos. Je revêts plusieurs épaisseurs fines que j’enlève au fur et à mesure. J’utilise un sac, plutôt prévu pour la course à pied, qui colle au corps mais laisse le dos respirer. Je ne le sens pas, même quand j’y ai mis les vêtements que j’ai enlevés et je trouve cette solution très satisfaisante, même si certains ajustements sont encore à effectuer pour le choix de la tenue de départ.

L’itinéraire du 92 km est le suivant :

Leforest, Evin-malmaison, Courcelles, Noyelles-Godault, Hénin-Beaumont, Beaumont, Drocourt, Bois-Bernard, Arleux-en-Gohelle, Willerval, Farbus, Thelus, Neuville-Saint-Vaast, Maroeuil, Mont-Saint-Eloi, Carency, Ablain-Saint-Nazaire, Notre-Dame de Lorette (la voie blanche), Souchez, Angres, Givenchy-en-Gohelle, Mémorial Canadien, Thelus, Bailleul-sir-Berthoult, Oppy, Neuvireuil, Izel-Les-Esquechin, Quiery-la-Motte, Beaumont, Esquerchin, Lauwin-Planque, Flers-en-Escrebeux, Auby, Leforest.

Le circuit est balisé par les lettres CCL surmontées d’une flèche à partir de la salle des fêtes de Leforest. Le balisage est abondant mais les lettres sont plutôt petites et donc parfois visibles au dernier moment. Ceci étant, j’ai reconstitué, assez fidèlement je pense, l’itinéraire suivi en reproduisant la carte fournie par les organisateurs (bonne idée je trouve) sur Openrunner.

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Le lien est le suivant : http://www.openrunner.com/index.php?id=536332

Pour les lillois on rejoint facilement Leforest par Faches-Thumesnil, Wattignies, Templemars, Seclin, Martinsart, Attiches, La Neuville, Thumeries, Moncheaux. C’est plutôt urbain jusque Seclin, après c’est la campagne. La boucle au départ de Lille fait environ 155 km.

Quelques photos :

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Impressionnant cimetière de la Targette qui comprend plus de 12 000 corps

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La paisible vallée de la Scarpe entre Maroeuil et le Mont Saint Eloi

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Les vestiges de l’Abbaye de Mont Saint Eloi

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Ablain Saint Nazaire vu de Notre Dame de Lorette

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Récupération après l’ascension vers Notre Dame de Lorette