J’attendais les Monts des Flandres, ce fut les Weppes. Rien à dire sur le choix de l’itinéraire, plutôt original au demeurant ; quelques bosses nous eussent cependant réchauffés.
Il s’en est fallu de deux ou trois heures pour que la randonnées d’automne proposée par le Cycl’o Chapellois ne se déroulât dans des conditions idéales. Les premières éclaircies ne firent leur apparition que vers dix heures et demi pour s’affirmer progressivement. Je terminai le brevet sous le soleil mais dans la fraicheur à laquelle un vent léger mais sensible contribuait.
La première partie fut, elle, dominée par un ciel gris et la froidure qui me fit regretter de n’avoir pas enfilé mes sur-chaussures. Je me félicitai pas contre de n’avoir pas trop précipité mon départ, quittant La Chapelle d’Armentières un peu avant huit heures trente.
L’itinéraire proposé pour le 75 kilomètres nous emmenait donc vers les Weppes, La Couture constituant, à ce qu’il m’en parut,le point le plus occidental.
Le parcours champêtre est bien roulant sans aucun dénivelé. Les marques vertes au départ du Complexe sportif vous permettront de le suivre.
Six cent soixante participants dont une centaine de Vététistes étaient au rendez-vous. En voici quelques uns plus quelques photos d’ambiance.
Quatre vingt dix huit participants m’ont précédé au moment de m’inscrire. Je me doute que cela importe peu au lecteur mais cela renouvelle les commentaires de ce genre de photo.
Des loossois appliqués.
Des cyclos d’Houplines attendent leurs copains.
La confection des sandwichs a débuté.
Les éclaircies se firent rares en début de matinée.
Le ravitaillement sera l’occasion de quelques clichés.
Les éclaircies ne vont heureusement plus tarder.
Le monument aux morts de La Couture, expressivité et symbolisme.
Le clocher de l’église de La Couture.
Si le temps frais me fit négliger des vues insolites, je ne résistai pas à cette vierge, de mémoire à la sortie de La Couture.
Ni à ces meules, sujets de quelques variations.
La saison des veaux de la fin est close. Ils sont au chaud dans leurs étables ou sur les étals de nos bouchers favoris. Voici donc un cheval dont on pourra dire que, positionné en dernier, il s’agit d’une queue de cheval. La semaine prochaine je tenterait de profiter de cette période de chasse pour photographier un chien. Le premier qui en trouvera la raison se verra décerner un Courons d’honneur (ne lésinons pas sur les à peu près).
Une réponse sur « Randonnée d’automne – La chapelle d’Armentières 2015 »
Forcément intrigué je te fais une proposition à la noix » un chien veau mieux que deux tu l’auras !? » mais je pense bien que ça finira en queue de poisson…
Ai bien apprécié les Weppes de ce brevet et le reportage qui le relate si bien.
Mais quid de ces drôles de meules ????
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