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Cyclotourisme

Les routes de Saint Louis – Leers 2018 (2/2)

Il fera chaud en cette fin de matinée et j’apprécierai quelques passages ombragés.

Suite de cette Route de Saint Louis avec un court retour dans la grisaille. Mais bientôt le soleil prendra le dessus.

Un problème de dérailleur avant me fera m’arrêter dans le bas de la montée vers le Mont de l’Enclus. J’en profiterai pour réaliser une première série de prises de vues que je complèterai une fois le plus dur franchi.

Le Patteberg, parfaitement exposé me retiendra quelque temps, mais il est déjà tard et le plus gros des participants est déjà passé.

Pas sûr d’ailleurs, c’est même tout le contraire, que tous les cyclistes photographiés au Mont de l’Enclus ou au Patteberg participaient au brevet.

Peut-être le hasard ou une consultation assidue de Cyclos59 les feront-ils se retrouver.

Passage ombragé dans la partie terminale de l’ascension du Mont de l’Enclus qui permettra d’éviter le contre-jour. Le Patteberg sous le soleil. Je l’aurai gravi sur les pavés avec peut-être encore un pignon en réserve. Dernier ravitaillement à vingt kilomètres de l’arrivée. Je dois être sans doute le dernier et profite largement des morceaux de banane restants. Merci d’avoir patienté.

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Brevet Cyclotourisme VTT

Nuit des pavés VTT 2018

Superbe idée que cette « Nuit des pavés VTT » à l’avant-veille du Paris Roubaix, cyclo. Il paraît qu’il y aura une suite. Tant mieux.

Plaisant brevet au départ de Willems, avec un parcours roulant alternant chemins et secteurs pavés. La première boucle de 20 kilomètres nous emmenait vers Bouvines et le Carrefour de l’arbre, la seconde d’égale distance vers la Belgique et Templeuve (B).

L’horaire et le faible kilométrage contribuèrent sans doute à une fréquentation plus diversifiée en termes de public. L’ambiance primait sur la performance et davantage encore que dans les brevets classiques la bonne humeur était au rendez-vous.

Pour autant, une fois sur la route il ne fallait pas prendre les choses trop à la légère et mieux valait rester attentif car avec l’obscurité le terrain pouvait être traitre. Un bon éclairage s’imposait, pas seulement pour être vu.

La douceur de l’air, contrastant avec la fraîcheur des jours précédents, ajoutait au plaisir de rouler à cette période de la journée.

Devant pour ma part me lever tôt afin de rejoindre Quend-Plage en vélo, je m’en tiendrai à la première boucle et rentrerai via le Lac du Héron, ce qui prolongea un peu la sortie.

S’agissant des photos, ce fut un peu l’aventure et j’ai essayé avec plus ou moins de succès plusieurs formules, attitude en partie dictée par une batterie insuffisamment rechargée qui m’invita à ne pas trop user du flash. J’aurai affiné ma technique pour la prochaine édition.

Suivent donc quelques clichés qui traduiront mieux je l’espère le climat de ce brevet qu’ils ne permettront aux participants de se revoir.

Merci au CC Roubaix pour cette nouvelle initiative.

Il fait encore bien jour et particulièrement doux à l’heure des inscriptions. Pour ne pas oublier le thème de la nuit. Allons voir de plus près ces trois cyclos qui se prennent en photo. Un à la tienne vaut mieux que deux tu l’auras.  Le crépuscule s’annonce. Bouvines : premier secteur pavé, pas vraiment méchant. Quelques essais de photos au flash, mais je n’en abuse pas au vu de l’état de charge de ma batterie. Je repars. La halte gastronomique est tentante, mais d’autres plaisirs nous attendent. Après « L’homme à la tête de chou » voici « L’homme à la tête de Led ». Il valait mieux pour la suite de cette nuit disposer d’un puissant projecteur, les trous se voient moins bien dans l’obscurité. Allez savoir pourquoi. A vouloir faire comme si on avait pas vu le photographe on prend un air vraiment trop sérieux. Une photo de votre serviteur prise par un participant avec mon appareil avec pour consigne de la mettre en ligne. Dont acte. Jean-Michel qui ne prend plus de photos. Pris en photo avec Jean-Michel. C’est normal que ne nous voyez pas. Ce qui l’est moins c’est que la photo ne se retrouve pas sur le site de Gérard avec les autres photos de Jean-Michel. Il y a du avoir un problème. Vivent les autoportraits.

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Brevet VTT

Chicon Bike Tour – Faumont 2018 (2/6)

Une fois fini avec les pavés, Mons en Pévèle nous attend.

Suite du reportage avec un tronçon entre Mons en Pévèle et Leforest puis le ravitaillement. Le premier épisode est .

C’est par la route que je franchirai Mons en Pévèle. S’il me semblait me souvenir qu’à mon dernier passage, lors du Wallers-Roubaix, la viabilité du chemin emprunté par le circuit avait été bien améliorée, j’avais aussi le souvenir d’une terre particulièrement collante à cette période de l’année et préférai m’abstenir.

Je récupèrerai sans mal le circuit et trouverai un nouveau point propice aux prises de vues, la lumière s’étant un peu améliorée.

J’éviterai ensuite un second tronçon bien boueux pour rejoindre le ravitaillement et le terril de Leforest.

Dernière photo sur ce tronçon avant de repartir. Oh, Oh! Qu’a vu cette cycliste qui la ralentit. Patience. Avant de le savoir, laissons passer quelques participants pour certains exubérants. Et voilà l’explication, quelques marches que tous ne franchirons pas sur leur monture. Quelques marches qui conduisent… au ravitaillement. Soupe, mais pas au chicon celle-là. Une petite famille que nous retrouverons dans le terril. Gérard qui a troqué son VTT contre un vélo de cyclo cross. A l’inverse du festival de Cannes, c’est la descente des escaliers qui n’en finit pas. Regarde qui nous photographie! Il est temps de repartir, à gauche en ce qui me concerne.

La suite avec de nombreuses photos prises sur le terril de Leforest, demain sans doute.

C’est fait.

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Brevet Cyclotourisme

Chicon Bike Tour – Faumont 2018 (1/6)

Le lever de soleil aura été le seul moment coloré de cette journée. Heureusement, les tenues colorées et la bonne humeur des très nombreux participants de cette édition 2018 du Chicon Bike Tour étaient là pour égayer la grisaille de ce dimanche.

Difficile de ne pas se répéter d’une année à l’autre.

Alors redisons le : bien organisé, bien fléché, bien ravitaillé et bien tracé, ce brevet mérite sa renommée.

Comme les précédentes éditions, les circuits proposés combinaient chemins agricoles et forestiers, voies vertes et terrils pour notre plaisir.

Pour ma part, c’était un retour aux brevets plus précoce que prévu après ma fracture de cheville fin octobre. Vis et plaque ayant l’air de tenir, et après un test sur des chemins de halage, j’ai donc, non sans prudence, renoué avec la pratique du VTT non sans avoir remplacé mes cale-pieds automatiques par les pédales mixtes de mon vélo de randonnée me permettant ainsi de rouler pied gauche côté cale et pied droit côté libre. J’ai par ailleurs évité certains passages trop boueux ou pentus, empruntant alors la route.

Ces raccourcis et le choix du circuit de 30 kilomètres m’ont laissé le temps de photographier à loisir. Trop de temps sans doute, car me voici avec une moisson difficile à gérer compte tenu de mes méthodes artisanales de mise en ligne. J’ai donc prévu de fractionner la publication en au moins six articles.

Voici le premier qui couvre le départ et le secteur pavé menant à Mons en Pévèle.

Parcours VTT, route et marche auront nécessité un gros travail de balisage.  De nombreuses tables attendaient les participants pour des inscriptions fluides. Mais avant de partir, ne pas oublier de mettre son bulletin dans l’urne pour la tombola.Jean-Louis, qui gère par ailleurs le site du club, photographie les participants à côté du chicon. Il fait jour, il est temps de partir. Bersée est passé et son église offre de plaisants contre-jour.  Secteur pavé qui conduit à Mons en Pévèle. Les Renards des Sables qui nous donnent rendez-vous le 18 février. D’autres participants arrivent encore, mais il est temps de repartir.

La suite demain, avec un tronçon de chemin agricole et le ravitaillement.

Voilà qui est FAIT.