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Le Géant Lambert – Lambersart 2024

Malgré quelques percées en tout début de matinée, le soleil ne parvint pas à rompre le voile nuageux, si ce n’est en toute fin de matinée. Ce fut donc un Géant Lambert un peu gris, ce qui n’enlève rien à la qualité des parcours proposés par le Cyclo Club de Lambersart.

Le Géant Lambert est un classique des Monts des Flandres que je retrouve à chaque fois avec plaisir, les parcours n’étant jamais totalement les mêmes d’une année sur l’autre, ce que confirme la comparaison de la trace du 110 km avec celle de 2022, année de ma précédente participation.

Quatre distances étaient proposées mais le 110 km, la plus longue, était la plus riche en dénivelés et points de vue. Parcours champêtre empruntant des petites routes avec une sympathique boucle autour de Godeswaervelde et un tour dans le Heuvelland.

Le circuit était très bien fléché.

Les ravitos furent eux un peu à la peine, fruit sans doute d’une bonne fréquentation dont je n’ai pas le décompte exact, ayant quitté le parcours à Saint-André pour rentrer directement chez moi sans passer par la case sandwich.

La grisaille ternit les paysages, à cette époque de l’année saturés de couleur, mais me permit de photographier sur un tronçon commun aux trois distances les plus longues, ce que n’eût pas autorisé un ciel sans nuages, générateur de contre-jour compte tenu de l’exposition de cette partie du parcours. Cela manque quand même d’un peu de contraste.

Les quatre parcours dont les traces sont disponibles sur Openrunner. Je mets le lien du 110 km, vous pourrez accèder aux autres à partir de là.
Inscriptions fluides et bien organisées.
Le club n’avait déployé cette année son habituel dispositif informatique, digne d’une tour de contrôle, pour en revenir à des moyens manuels de tri (cf. à gauche de la photo) mais qui, comme aurait pu le dire un des Tontons flingueurs, ne manquent pas de noblesse.
Une éclaircie ne fait pas le beau temps.
Le ravitaillement de Bailleul.
Celui de Kemmel.

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Les belles Censes – Anstaing 2024

Malgré des paysages affadis par une grisaille persistante, Les belles Censes, organisée par le CC Anstaing, demeure une plaisante randonnée.

Fraicheur et grisaille, qui contrastaient avec le temps chaud et ensoleillé de la veille, ne dissuadèrent par les cyclos et la fréquentation fut au rendez-vous.

Il faut dire que la réputation de cette randonnée n’est plus à faire qui propose de beaux parcours conduisant vers les Frasnes avec, pour le 115 km, quelques belles côtes.

Le 80 km, que j’ai suivi, est bien animé en son milieu mais demeure bien roulant.

On attendait le soleil pour faire ressortir les verts tendres de la végétation, ou éclairer les beaux points de vue dont les circuits sont largement pourvus, mais ce fut en vain et je gardai toute la matinée le coupe vent que j’imaginai ôter une fois dans le vif du sujet.

Le parcours était bien fléché même si par endroits il fallait être attentif, l’érosion ayant fait son oeuvre.

Quelques photos, manquant pour certaines cruellement de contraste et de luminosité, rendront néanmoins compte de cette agréable matinée.

La trace du 80 km, disponible sur Openrunner
Les féminines des Cyclos d’Ascq sur le départ.
Cette année, grande victoire personnelle, ma carte bleue a fonctionné.
Une partie des Roubaisiens, bien présents ce dimanche.
Christian, qui manifestement a bien récupéré de son Paris-Roubaix cyclotourisme de dimanche qu’il a réalisé sur la plus longue distance de 210 km dont 57 de pavés.
Des élèves du collège Saint-Adrien de Villeneuve d’Ascq qui se préparent pour un raid longue distance.
Des ravitailleurs bien occupés.

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La Villeneuvoise – Villeneuve d’Ascq 2024 (2/2)

De larges panoramas dès que l’on prenait un peu de hauteur. Ici au Mont Saint Aubert.

Suite en photos de cette Villeneuvoise avec la seconde partie des vues prises dans la montée du Mont Saint Aubert et un peu après le ravitaillement du Mont de l’Enclus.

Ravitaillement bienvenu au Mont Saint Aubert.
Une partie des effectifs présents du Vélo Club de Roubaix, club le plus représenté.
Le ravitaillement du Mont de l’Enclus, lui aussi bien fréquenté.
Quelques photos encore avant de ranger définitivement l’appareil et songer à rentrer dans les temps.
Le temps se prêtait aux discussions au soleil.

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La Villeneuvoise – Villeneuve d’Ascq 2024 (1/2)

Beaux parcours et beau temps sont les deux mamelles du succès. Les deux étaient réunis pour cette Villeneuvoise 2024 et la fréquentation fut au rendez-vous.

Depuis quelques éditions, la Villeneuvoise nous emmène en Belgique avec plusieurs bosses, dont certaines pavées pour le 116 km.

Le 91 km, que j’ai parcouru, comportait le Mont Saint Aubert et le Mont de l’Enclus. Le Mont Saint Aubert aura fait tirer la langue à plus d’un car gravi par le rue de la Folie dont le dernier virage pique un peu.

Le 116 km proposait en sus le Vieux Kwaremont et le Paterberg, dont on peut espérer que le soleil avait séché les pavés.

Le circuit était bien fléché et les traces, pour les distraits, étaient disponibles au départ et sur le site du club.

Les ravitailleurs eurent fort à faire compte tenu de la fréquentation mais réussirent à maintenir les tables approvisionnées, malgré des arrivées groupées.

Un brevet à conseiller.

Temps idéal pour des prises de vues. Les miennes se concentrèrent dans la montée du Saint Aubert, l’étirement des pelotons et la vitesse réduite facilitant la tâche du photographe.

Les traces sont disponibles sur le site du club.
Des inscriptions bien organisées.
Comment résister à un virage bien exposé.
De quoi contribuer à abaisser la moyenne d’âge.
La rue de la Folie bien éclairée et des cyclistes souvent bien essoufflés.

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