Paysage brumeux près d’Armentières
Pas de regret pour la Grinta Tournay! Ne pouvant y participer cette année, c’est sans remords que s’est passé ce samedi particulièrement venteux et pluvieux. Il aura fallu courage, détermination et bons mollets à ceux qui se seront engagés sur la distance la plus longue. Ce dimanche étant également sans sortie cycliste, j’en profite pour mettre en ligne l’article écrit à propos du brevet de Boeschepe le 1er mai.
Finalement je serai parti de Mons à la bonne heure, arrivant à Boeschepe alors que la brume matinale se dissipait. Celle-ci, tenace depuis Armentières, me faisait regretter de n’avoir pas cru bon de prendre un feu arrière, le jour étant suffisamment levé au moment de mon départ. Heureusement, cette portion de route est dotée d’une bande cyclable, mais malgré tout je n’étais pas très rassuré.
Les participants sont déjà nombreux à mon arrivée, avec à ce qu’il me semble une dominante VTT, le brevet proposant les deux types de parcours. C’est pour ma part le brevet route que j’ai retenu et la plus longue distance, 60 kilomètres que le trajet de liaison fera doubler.
Sans être plat, le circuit ne présente pas de grosses difficultés celles-ci étant surtout concentrées vers la fin du parcours avec l’ascension du Mont Noir puis le retour à Boeschepe.
Le balisage est constitué d’un « b » orange, le vert étant celui du VTT. Dans l’ensemble le circuit est bien balisé à l’exception de la traversée de La crèche où il faut éviter de continuer tout droit et à l’église prendre à gauche pour rejoindre la D 933 qui ramène vers Bailleul. Nous serons plusieurs à nous fourvoyer.
Le temps et la distance se prêtaient aux photos. Un caprice de carte mémoire fera que je n’arriverai à en exploiter qu’une partie.
Premiers départs au pied du Moulin.
La brume est définitivement levée.
Les bénévoles ont de l’ouvrage avec ce ravitaillement commun aux circuits route et VTT.
Les parcours Route
C’est la fête à Bailleul. Démonstration de danse Country
Toujours à l’affut de vieilles enseignes, un bâtiment que je n’avais pas encore remarqué à Armentières