
Suite de cette randonnée en photos et avec de meilleures conditions d’éclairage.














































































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Agréable brevet vers les Monts des Flandres sous le soleil. Ce dernier paramètre n’avait pas été prévu par Météofrance, mais ni le CC Wavrin ni les participants ne s’en plaindront.
Brevet bien organisé, comme à l’accoutumée, avec une superbe salle d’accueil et tout l’espace nécessaire pour accueillir routards, vetétistes et marcheurs.
C’était route en ce qui me concerne et faisant l’aller et le retour vers Wavrin en vélo, le 67 km.
Circuit empruntant de petites routes sans trop de dénivelé.
Fléchage bien visible et bien positionné qui rendait le chargement de la trace GPS superflu.
Les champs de colza en fleurs étaient là pour procurer des paysages contrastés aux couleurs saturées.
Beau temps pour photographier, mais je ne ferai pas de sans faute, ayant omis de vérifier la zone de réglage de mon autofocus dont j’avais oublié que j’avais modifié son positionnement lors d’une précédente séance de prise de vues. Résultat, de nombreux sourires dans la montée du Mont de Lille resteront dans la carte mémoire.
Une première partie consacrée au Mont de Lille.









































































A suivre.
Un peu de pub, le 05 mai approche, fin des inscriptions en ligne le 21/04
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Pas de chance avec la météo pour le Vélo Club de Mons. La pluie, bien présente, ce dimanche matin aura sans doute dissuadé nombre de cyclos.
S’il fallait y croire au moment de quitter le parc du Baroeul, le temps bien que pluvieux ne fut pas cataclysmique et la douceur de l’air rendit l’humidité supportable.
Circuit champêtre, une fois traversée Villeneuve d’Ascq, suivant des routes peu fréquentées.
Merci au club pour l’organisation.
Temps pluvieux ne fait pas les affaires du photographe. Un arrêt à la sortie de Bouvines ne remplit pas ma carte mémoire.
















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Le tracé de l’Annaysienne est musclé par temps sec, avec la boue je le qualifierais d’athlétique et j’ai terminé pour ma part les 45 km avec les cuisses qui piquaient.
Riche en monotraces, le circuit ménageait heureusement quelques portions goudronnées en bordure de canal qui permirent de faire remonter un peu la moyenne.
Pour le reste, le terrain était au minimum collant et le plus souvent franchement boueux. La palme revient à un tronçon situé au km 30. Les jantes étaient complètement gainées de boue et ayant comme beaucoup mis pied à terre, j’ai fini avec une roue arrière qui glissait au lieu de rouler. Ceux qui firent un tout droit au lieu de suivre la boucle furent bien inspirés.
Le dernier terril était là pour saper mes dernières forces avec son enchaînement de bosses et de creux. A la bifurcation entre le 45 et le 50 km, je n’eus aucune hésitation sur la direction à prendre, celle de l’arrivée la plus proche.
Le parcours était très bien fléché, les signes directionnels étaient bien complétés par d’autres indiquant les fausses directions, ce qui était particulièrement utile dans le dédale des traces sur les terrils.
Une randonnée à faire donc si vous ne l’avez jamais pratiquée.
Des photos à suivre comme d’habitude.

















































































































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