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L’Orchésienne – Orchies 2022 (1/2)

Départ sous le soleil pour cette Orchésienne qui fut finalement épargnée par la pluie sauf en toute fin de matinée.

Si la nidification vint contrarier le traceur du CC Orchies pour La Printanière, ce fut la chasse qui fut cause de changement d’itinéraire pour cette Orchesienne, un passage dans la forêt de Marchiennes n’ayant pas été autorisé.

Fort heureusement, on ne chasse pas sur le terril de Rieulay et cette année encore il fut un agréable terrain de jeu mêlant monotrace, petites et grandes bosses, cheminement en sous-bois et voies plus dégagées.

Les organisateurs avaient prévu de le rendre accessibles à tous et à certains endroits deux options étaient possibles. Seule récrimination, le recours à l’anglais pour les différencier. Ainsi donc, par une perversion langagière que je réprouve et que je m’emploie à stigmatiser, facile est devenu cool et difficile, hard. L’investissement en signalétique qu’imposerait un retour à l’orthodoxie étant modeste, souhaitons en 2023 voir les F et les D remplacer les C et les H.

Ce sera le seul reproche formulé. le fléchage horizontal et/ou vertical était bien adapté et le ravitaillement varié et copieux.

Le reste du cheminement faisait emprunter secteurs, pavés chemins agricoles, chemins de halage et voies vertes. De quoi profiter des couleurs et ambiances automnales.

Je ne fus pas cette fois trahi par la technique et pus saisir, sinon tous, une partie des participants. Des photos à suivre donc.

La disparition des contraintes sanitaires vint considérablement alléger la tâche des bénévoles à l’accueil au regard de l’édition 2021.
Accueil souriant et bien organisé, comme nous en avons l’habitude à Orchies.
Lien vers les traces GPS.
La trace du 50 km que j’ai suivie.
Freddy et Philippe partis de bonne heure.
Ils ne sont pas les seuls. Je patiente donc.
Nous voici dans la montée qui donne accès au terril de Rieulay. Rien d’affreux, mais il faut quant même pousser sur les pédales.
Un peu plus loin, une monotrace plaisante.
Autre passage proposant un enchaînement de bosses.
Renard fourvoyé, tel est sans doute son totem. Il aurait du arriver par la gauche. Mais tous les chemins mènent à Rome.
Il suivait Renard fourvoyé.
Il n’a pas suivi Renard fourvoyé.
Un signaleur était là pour éviter aux cyclistes non anglophones de devoir sortir leur traducteur automatique et leur permettre de choisir entre facile et difficile.

La suite ICI.

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Randonnée des carrières – Antoing 2022

Il ne fallait ni partir trop tôt, ni rouler trop vite pour avoir la chance, sur le chemin du retour, de voir les carrières d’Antoing sous le soleil.

Franc succès pour cette 31ème Rando VTT des Carrières organisée, faut-il encore le préciser, par le CT Antoing.

Parcours différent de celui de l’an dernier mais faisant lui aussi la part belle aux tronçons en mono-trace biens sinueux et parfois bien pentus.

Le sol plutôt gras, sans être détrempé, rendait le pilotage parfois acrobatique et réservait le franchissement de certaines bosses aux costauds.

Le circuit sollicita pilotes mais aussi machines. Je vis ainsi trois ruptures de chaînes. Au premier cycliste, je fournis une attache rapide, celui-ci étant muni d’un dérive chaîne, au second je prêtai mon dérive chaîne celui-là étant pourvu en attache rapide, le troisième avait tout le nécessaire.

Le paysage des carrières bien que connu est toujours aussi impressionnant et nombreux sont ceux qui se ménagèrent des haltes photographiques.

Le temps gris au départ devint franchement ensoleillé sur le coup de 11h00 et fit découvrir, à ceux qui comme moi avaient pris leur temps, le site des carrières sous le soleil.

Ma production de photos sera piètre, s’agissant des photos de cyclistes en plan rapproché. Lors d’une extraction de mon sac de l’appareil dont je me sers pour ces photos, j’ai pas inadvertance modifié le réglage du mode de l’autofocus. Ceci fait qu’une bonne partie de ces photos sont floues. Je ne m’en suis rendu compte que tardivement. Outre les quelques photos avant et après perturbation, demeurent des photos d’ambiance.

La trace du 45 km que j’ai suivie.
Forte affluence dès 8h00.
Mais, bien gérées, les inscriptions sont fluides.
Trace à la chaux, rubalise, peinture et piquets, tout fut mis en oeuvre pour un balisage sans faille.
Cette édition démarrait par la carrière et par un point de vue qui provoqua de nombreux arrêts.
Passage devant les engins, sources également de nombreuses prises de vues.
Jusqu’ici tout va bien, pour la cycliste et le photographe.
« Nous entrerons dans la carrière quand nos ainés n’y seront plus » dit La Marseillaise. Celui-ci et d’autres n’ont pas attendu, mais il est vrai que nous sommes en Belgique.
Entre cette prise de vues et la précédente, de nombreux flous éliminés.
Beau saut.
Belles couleurs.
J’ai rétabli le bon réglage, mais un peu tard.
La grisaille a disparu.
Paysage moins austère que celui des carrières.
Le premier ravitaillement.
Second passage dans les carrières, sous le soleil cette fois.
Je ne suis pas le seul à m’arrêter.
Chaude ambiance sous la tente, sans doute entretenue par la Diole locale.

Revoir l’édition 2021.

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La Francis Caron – Carvin 2022

La Francis Caron, un parcours technique et intense proposé par le BAZ Carvin.

La Francis Caron est en fait la nouvelle appellation des « 3 heures de Carvin », en mémoire de son vice-président décédé.

J’avais un préjugé défavorable à propos de la formule qui consiste à faire plusieurs fois le même circuit de 12 kilomètres. J’avais tort, car loin d’être ennuyeux, celui-ci propose davantage de sensations que des boucles plus longues où l’on s’englue dans des chemins agricoles détrempés.

Même la trace est trompeuse qui laisse croire que le cheminement urbain est majoritaire. Il n’en est rien et passé le premier kilomètre, démarre une succession de monotraces en forêt qui font enchainer virages et bosses à un rythme soutenu avec, en point d’orgue, l’ascension du terril et sa descente, courte (200m) mais pentue.

Trois tours auront suffit à mon bonheur et à épuiser le crédit temps de cette randonnée qui est de trois heures (plusieurs en ont fait cinq).

Le premier tour fut laborieux, à peine un kilomètre pour s’échauffer et on aborde le sous-bois avec ses changements de rythme. On parvient au pied du terril déjà bien essoufflé (enfin moi). Je n’arriverai pas à monter sans mettre pied à terre et pousser mon vélo, mais je ne serai pas le seul, loin de là.

Les deux tronçons franchement raides de la descente se feront en grande partie en dérapage.

Le second tour, une fois échauffé et averti des pièges du circuit, paraitra plus facile. La montée du terril, elle, ne le sera toujours pas.

Le troisième tour sera piquant pour les jambes, mais consacré aux prises de vues, les arrêts cassent le rythme (enfin c’est une bonne excuse que je me suis trouvée).

Nous ne fûmes que 66 à prendre le départ. Dommage pour le BAZ Carvin qui se voit maigrement récompensé pour son investissement dans l’organisation de cette randonnée. Pour le participant, c’était par contre idéal, car dans un parcours en mono-trace ne pas être à la queue leu-leu est appréciable.

Souhaitons donc meilleure fortune au BAZ Carvin pour sa prochaine édition, mais sans excès.

Les inscriptions ont débuté.
Départ groupé à 8h30, le contrôle au sommet du terril et donc la comptabilisation des tours s’achevant à 11h30.
Départ en deux groupes pour éviter l’engorgement à l’entrée du bois.
J’attendrai mon troisième tour pour effectuer quelques prises de vues.
Fin de la montée du terril.
Pointage des tours au sommet.
Second passage franchement raide de la descente.
Franchi sans difficulté par ce participant qui fera cinq tours.
Il est déjà loin.
Et absorbe la bosse sans effort apparent.
Un parcours bien fléché à la chaux et des piquets par endroits.
Il commence à pleuvoir, j’en reste là pour les photos.
Boisson sandwich comme il se doit.
L’heure des récompenses pour ceux qui ont fait le plus de tours, avec une tombola bien dotée.
Ma plaque de cadre attestant de mes trois tours, un rond et deux étoiles.

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Rallye du Vert Bois – Marquette 2022

Après un samedi ensoleillé et caniculaire, le dimanche fut tout autre pour le Rallye du Vert Bois organisé par l’Entente Cycliste Wambrechies Marquette.

Après une journée caniculaire, j’avais prévu de me lever tôt pour parcourir le 90 km au programme de ce Rallye du Vert Bois en profitant de la fraîcheur. Précaution superflue, les conditions météo ayant changé du tout au tout durant la nuit.

Si la fraicheur attendue était bien présente, nuages, pluie et vent l’étaient aussi. Pluie du matin n’effraie pas le pèlerin, mais s’il peut attendre, il serait bien sot de se faire mouiller. Je différai donc mon départ, laissant passer quelques averses avant de rejoindre Marquette.

Le local était plutôt désert, non que je sois arrivé dans les derniers, mais signe d’une regrettable désaffection.

Avec 44 participants, cette édition 2022 sera, je l’espère, vite oubliée des organisateurs, mal récompensés de leurs efforts. Comme toujours dans ces cas là, se pose la question du pourquoi. Certes la pluie tomba au mauvais moment, mais ce n’était pas non plus l’horreur absolue et un 30 kilomètres permettait de participer sans risquer la fluxion de poitrine.

Pour ma part, compte tenu d’un départ tardif, d’un temps maussade et d’un vent particulièrement turbulent je m’en tins au 60 km, proposant une large boucle autour d’Armentières. Le parcours n’en était pas moins champêtre, privilégiant les petites routes.

La trace vous sera utile pour traverser la commune du Bizet qui n’autorise pas le fléchage au sol.

Vu le nombre de participants, pas de photos de cyclistes en action. Place aux bénévoles.

La trace disponible sur Openrunner.
Il ne pleut plus. Il subsiste encore un espoir de voir arriver de nombreux participants.
Trop de fléchage au sol tue le fléchage au sol.
Ils étaient là pour vous.
Ravitaillement à Erquinghem-Lys.
Deux courageux qui continueront sur le 90 km.

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