Si l’affluence au Carrefour de l’Arbre n’était pas celle qu’elle sera demain, de nombreux spectateurs étaient venus encourager les féminines ce samedi.
Riche week-end cycliste, puisqu’aux nombreux brevets s’ajoute Paris-Roubaix.
Pas trop de monde pour la version femmes, j’ai pu accéder sans problème au pavé du Carrefour de l’Arbre. Demain il en ira différemment, le pavé de Gruson constituera une alternative plus accessible.
Forza Italia, mais pas d’italienne sur le podium cette année.
Les fournisseurs de roues sont en place.
Féminine, oui mais de la version amateurs.
Les choses se précisent.
La présence de l’hélicoptère ne laisse plus de place au doute, elles arrivent !
Le groupe de tête alors mené par la polonaise Marta Lach, suivie d’Alison Jackson qui remportera l’épreuve.
Coucou.
A voir les cuisses et les genoux de plusieurs concurrentes, on devine que la course n’a pas été exempte de chutes.
Ce n’est pas la voiture balai mais plus de concurrentes à l’arrière.
De très joyeux et peu sobres spectateurs ont pris possession de la chaussée pour un jeu de quilles, mais force restera à la loi.
Le bus de la gendarmerie récupère ses troupes.
En attendant demain.
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Comme tous les ans, les arbres du Parc du Baroeul sont en fleurs pour Mons à Vélo. Ce fut la seule note de couleur de cette matinée maussade côté météo.
Les années se suivent et se ressemblent s’agissant du temps pour Mons à Vélo. S’il fit moins froid que l’an dernier, à en croire mes archives, le temps fut tout aussi gris, la pluie en sus et ce une bonne partie de la matinée.
J’hésitais à faire le 80 km en raison de l’incertitude en matière d’hygrométrie. Les facétieuses divinités du temps attendirent que je fusse bien engagé sur ce parcours avant d’ouvrir, sinon les vannes, au moins le robinet.
Heureusement le vent était modéré et l’on put profiter des petites routes de la Pévèle en pédalant sans trop d’effort.
Le fléchage était bien visible et les changements de direction bien anticipés, ce qui fut appréciable au regard des routes humides et grasses par endroits, rendant le freinage parfois délicat.
Ravito sous la pluie, le pain d’épice est à l’abri.
Christian qui fit une halte pour venir me saluer, ce qui me permit de le photographier, l’ayant raté à son passage.
Courte halte à Mons-en-Pèvèle, pour écouter la fanfare.
1er retour à la salle, ici gestion de la tombola.
2ème retour à la salle. J’y avais oublié mes cartes d’identité et de crédit. Tout a été mis en oeuvre pour me retrouver et j’ai pu récupérer mes biens avant la fin du repas de clôture. Merci à tous.
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Le terril de Grenay est sans doute le clou de cette Terrible, tant par le tracé exigeant que par les panoramas qu’il offre. Ici les terrils du 11/19 de Loos en Gohelle.
La Terrible a tenu ses promesses, du moins en ce qui me concerne, me forçant à mettre pied à terre plus souvent qu’à mon gré. Les deux principaux terrils comportaient leur lot de raidillons assassins.
Beau parcours donc que ceux proposés par le Club Léo Lagrange VTT de Beuvry.
Du dénivelé et des paysages, que souhaiter de plus? Des monotraces? Il y en avait également au gré des sinuosités de l’itinéraire.
Le terrain bien gras n’était boueux que par endroits.
La pluie annoncée était allée voir ailleurs s’il faisait beau, seul le vent jouait par moment les trouble-fête. Mes lunettes jaunes estompèrent la grisaille.
Le fléchage était de qualité et les ravitaillements également.
Randonnée bien organisée, à conseiller.
J’avais bien rechargé la batterie de mon appareil photo et n’avait pas oublié de remettre la carte mémoire. La suite en images.
Cette fois, je n’ai pas oublié de déclencher mon GPS (merci au participant que j’ai vu le faire) ni n’ai effacé la trace prématurément comme en 2020. Je peux donc vous proposer celle du 45 km sur Openrunner.
4 parcours de 20 – 35 – 45 – 55 km. Je choisirai le 45 qui comportait l’ensemble des terrils, le 55 n’ajoutant que de la distance. La suite m’a conforté dans mon choix, 45 km suffisaient.
Le parc de la Loisne procurait une première mise en jambes.
Un court raidillon qui en annonce d’autres plus corsés et permet de monter en température.
Après être monté, ,il faut descendre.
Ravitaillement au pied des pistes.
Ca mérite une photo souvenir.
Ceux qui portaient ce maillot avaient l’air plus cordiaux et pacifiques que leur redoutable mascotte.
Ca passe ou ça casse ? Je vous laisse choisir la fin selon votre humeur.
Sur le terril de Grenay
Une des nombreuses monotraces rencontrées sur le circuit.
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Tout à la joie de retrouver leur pâtures, les vaches, pourtant d’un naturel curieux, ignorèrent les participants de ces 3 heures de Lallaing.
Malgré le temps gris et humide, 250 vététistes s’étaient donné rendez-vous pour participer aux 3 heures de Lallaing. Des parcours route et marche étaient également au programme.
En VTT, les parcours étaient plutôt roulants sur chemins ou secteurs pavés, d’autant plus roulants que le terrain était au pire gras mais jamais boueux. C’est mieux pour les jambes, les transmissions et la lessive.
Trois terrils venaient animer les circuits. Celui de Râches tout d’abord, puis Rieulay (40 km) et Lallaing pour finir.
Je n’avais pas oublié mon GPS, mais j’ai oublié par contre de le mettre en route. Pas de trace cette semaine.
Côté photos, je n’avais ni oublié la carte mémoire ni de recharger la batterie. Photos il y a donc.
Trois parcours étaient proposés en VTT de 20, 32 et 40 km/
Dans la série photo de groupe, des vététistes roubaisiens venus également faire la promotion du Raid VTT du 14 mai prochain