Trois distances étaient proposées dont un 90 km filant vers le Mont-noir en passant par les Weppes puis le Heuvelland.
Le circuit suit principalement de petites routes champêtres avec comme seul dénivelé l’enchaînement Mont Kokereel, Mont-noir, Ravensberg.
Mention spéciale pour le fléchage, bien visible et bien positionné, les changements de direction étant annoncés avant l’intersection et une flèche de rappel systématiquement présente après.
Accueil chaleureux et ravitaillements de qualité.
Après un lot de sorties avec lunettes de soleil, j’ai ressorti ce dimanche mes lunettes jaunes qui font voir la vie en rose. Grisaille et pluie durant la matinée auront sans doute eu hélas un impact sur la fréquentation.
Quelques photos néanmoins, pour une bonne part réalisées sous la pluie.
La trace du 90 km.
Le chapeau de paille était de rigueur. Il servit hélas davantage à protéger de la pluie que du soleil.
Le courrier écrit par la soeur de Pierre Vilain, ancien président du RCM, à qui est dédié cette randonnée.
Le fléchage sans faille.
Discussion entre connaisseurs autour d’une randonneuse en 650 B.
La séparation entre parcours, clairement indiquée.
Premier ravitaillement.
Entre deux passages.
Je n’avais jamais vu encore cette pancarte au départ de la route qui conduit au Mont Noir. Un lecteur pourra peut-être apporter une explication.
Le Mont noir est passé, reste le Ravensberg.
Non, non, ce n’est pas un subite éclaircie mais une photo prise jeudi sur le retour d’une sortie club qui passait aussi par le Ravenseberg.
Retour au présent.
Photo de groupe pour les organisateurs.
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Loin de la foule de Lille-Hardelot, la Ronde des sorcières organisée par le Vélo Club Templeuve-Cappelle proposait quatre circuits champêtres.
La Ronde des Clubs d’Opale constituait une alternative intéressante à Lille-Hardelot, mais faute d’avoir mis en place la logistique appropriée, ce fut l’option Ronde de proximité qui fut de mise ce dimanche avec celle des Sorcières au départ de Cappelle en Pévèle.
Moins vallonnée que le Boulonnais, la Pévèle n’est pas sans charmes si l’on quitte les grands axes routiers, ce qui fut le cas de cette randonnée.
Odomez, précédant la traversée de la forêt de Saint-Amand était le point le plus à l’est du circuit de 90 km qui nous ramenait ensuite à l’opposé avec le franchissement de Mons en Pèvèle, point culminant de cette journée.
Si le vent, moins soutenu que les jours précédents, apportait un peu de fraicheur, les ravitaillements étaient néanmoins les bienvenus pour se réhydrater.
Le fléchage demandait à un ou deux endroits un peu d’attention mais la feuille de route mise à disposition au départ ainsi que les traces GPX palliaient toute défaillance.
Bien que la lumière fût au rendez-vous, la chaleur invitait à achever la boucle avant que la première ne fût trop intense. Parti avec l’intention de photographier comme le plus souvent des participants en action, je ne passai pas à l’acte.
Poursuite des journées fastes pour les organisateurs dont a pu profiter le Club des Randonneurs Haubourdinois pour sa Randonnée printanière.
Débarrassé de la concurrence de Lille-Hardelot, qui l’an dernier se tenait à la même date, le CRH a pu renouer cette année avec une fréquentation plus satisfaisante.
En alternance avec un itinéraire plutôt orienté Flandres -Weppes, le circuit cette année se déployait uniquement dans les Weppes. Les circuits devrais-je dire, car quatre distances étaient au programme dont la plus longue était un 85 km.
Je vous renvoie à l’article de l’an dernier quant à la suggestion de fusionner les deux circuits pour les amateurs de distances plus longues. Personnellement, je ne suis pas encore passé à l’acte.
Parcours sans grand dénivelé mais dont le vent peut venir contrarier le caractère roulant. Ce fut le cas cette année.
Devisant avec un cyclo sur la route vers le départ, ce dernier tout en pointant la fraicheur matinale se réjouissait qu’il y eût moins de vent. N’ayant pas consulté le matin les prévisions météo, j’en acceptai l’augure. Notre ami avait manifestement mal interprété les présages car le vent souffla constamment de façon soutenue avec par moments de bonnes rafales.
Il fallait croire par endroits au principe affiché au départ « Pas de flèche. Tout droit » mais finalement cela fonctionna et pas d’erreur de parcours en ce qui me concerne. Les flèches colorées étaient bien visibles.
Quelques photos pour rendre compte de cette sortie champêtre. Un voile atmosphérique qui ne disparut que tard dans la matinée n’incitait pas aux photos de paysages. Restaient les cyclistes.
Les champs de colza en fleurs étaient heureusement là pour apporter un peu de couleur à un environnement franchement gris.
Tout s’annonçait bien en ce début de matinée pour cette édition de la Jacques Masquelier organisée par le BAZ Carvin, avec un ciel bien dégagé, peu de vent et une température qui sans être vraiment printanière n’était pas non plus hivernale.
Cela ne dura malheureusement pas très longtemps, un vent soutenu s’invitant, accompagné d’abondants nuages.
La perspective d’une matinée sous un régime d’éclaircies m’avait fait opter pour la version route, celle-ci me permettant de surcroît de rejoindre Carvin à vélo. Des cinq parcours proposés, les deux plus longs (90 et 125 km) étaient les plus intéressants, nous emmenant sur des terres peu fréquentées au départ de Lille et avec un peu de dénivelé.
Le vent, la perspective de pluie et les presque 50 km d’aller-retour Lille Carvin, me firent finalement opter pour le 60 km.
Moins exotique, c’est un parcours plutôt roulant, enfin façon de parler, s’agissant de la première partie majoritairement avec le vent de face.
A partir de Vimy, il en alla différemment et les 25 kilomètres restants furent avalés sans difficultés.
La pluie m’attendait au sortir de la salle, ne laissant place à aucun regret de n’avoir pas choisi le 90 km.
Le circuit était bien balisé.Vous pourrez encore quelque temps retrouver les Z blancs et qui sait, profiter du beau temps pour explorer les autres distances.
Activité photographique légère en raison du temps.
La trace du 60 km disponible sur Openrunner
Le ciel est encore bien bleu au départ de cette Jacques Masquelier.
Changement d’arrière plan.
La tonnelle a un peu de mal à résister au vent. Packs d’eau et bidons sont bienvenus pour servir de lest.
David, qui, parti bien après-moi arriva bien avant.
Vent de dos, tout est plus beau.
J’ai retrouvé dans mes archives le tableau de la fréquentation de 2016, je vous laisse le loisir de comparer les effectifs des marcheurs. A noter que cette année là avait été copieusement arrosée.
La mascotte, toujours fidèle au poste.
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