Mons en Pévèle départ et arrivée de cette Transpévéloise.
Franc succès pour cette première édition de la Transpeveloise, au départ de Mons en Pevele, puisque qu’au second ravitaillement on annonçait plus de 1000 participants. Parmi eux, un fort contingent de Vététistes car si la manifestation co-organisée par le TEAM VTT Pays de Pévèle et la boutique EKOI de Lomme proposait circuits route et VTT la fréquentation aura été incontestablement plus élevée pour ces derniers.
Trois distances route de 60, 80 et 110 kilomètres étaient au programme. A en croire une fois encore les ravitailleurs, si le 60 kilomètres fut prisé il n’en fut pas autant du 80 et encore moins du 110. Peut-être est-ce un peu tôt en saison pour cette dernière distance.
Pour ma part, reliant les deux Mons(en Baroeul et en Pévèle)à vélo, je me contentai du 80 qui, au compteur, se révéla en fait être un 90.
Les organisateurs avaient pris l’option du parcours surprise puisque ni carte affichée, ni feuille de route ne permettaient de connaître l’itinéraire. De mémoire, ce fut pour le 80 une boucle passant par Thumeries, la Neuville, Attiches, Avelin, Fretin, Templeuve, Péronne en Mélantois, Bouvines, Gruson, Baisieux, Camphin en Pévèle, Bachy, Genech, Faumont, Monchaux.
Deux secteurs pavés venaient donner un peu de piquant, ceux de Templeuve et Gruson. Cette dernière incursion sur le parcours de Paris Roubaix aura été l’occasion d’une rencontre.
Alors que nous remontions la rue principale de Bouvines un cycliste nous interpella en précisant qu’il n’était pas du coin, ce dont nous ne pouvions douter à entendre son accent fleurant bon le sud ouest, et souhaitait savoir comment se rendre au Carrefour de l’arbre. L’un de nous lui indiqua la route et chemin faisant, force fut de constater que nous nous y rendions également. Comme je lui demandais s’il venait en repérage pour Paris Roubaix, il m’indiqua être en déplacement dans la région et désireux de voir les lieux mythiques que l’on voit à la télévision et qui font rêver.
Pendant que nous songeons à l’Aubisque ou au Tourmalet en franchissant le Mont des Cats ou le Mont Cassel, d’autres rêvent de pavés, de poussière ou de boue.
Prudent sur les pavés je me laissai distancer et ne pus recueillir ses impressions à l’approche de l’endroit tant attendu.
C’était un parcours intéressant qui, bien que se déroulant sur un terrain très pratiqué, offrait des cheminements peu habituels.
Vous pouvez retrouvez les balises (cf. un des photos ci-dessous) à partir de Mons en Pévèle mais aussi, pour les Lillois et environnants, à partir des villes citées, que l’on traverse, pour beaucoup, en passant par le centre.
Cette entrée aux allures paisibles cache en fait de nombreux participants. A l’arrivée, il sera difficile de contenir tout le monde dans cet espace et la chaussée sera largement encombrée, ce qui provoquera l’ire de certains conducteurs.
Un avant goût de Paris Roubaix à Templeuve
Arrivée au premier ravitaillement, au pied du Moulin de Vertin à Templeuve. On repère une borne marquant un secteur pavé de Paris Roubaix mais le franchissement de celui-ci sera optionnel.
Du ravitaillement, il était possible de rejoindre le parcours par un secteur pavé ou par la route. Personnellement, je n’ai pas hésité et je ne crois pas avoir été le seul.
Au bout de ce secteur pavé, le Carrefour de l’Arbre.
Bain de soleil.
Dernier regard sur Mons en Pévèle avant de repartir vers Lille.