C’est parti, le départ est cadencé par vagues. On voit la trace verte PR qui balise le parcours.
Un petit tour d’échauffement permet de visiter le site.
Les choses sérieuses commencent ici, même si de nombreux participants dont votre serviteur s’économisent en empruntant le bas côté en cendrée.
Premier demi tour, toutes les flèches vertes ne mènent pas à Roubaix. Seuls les signes PR sont valides. Le cycliste en brevet étant facilement moutonnier, plusieurs sont entraînés dans les errements d’un groupe et doivent rebrousser chemin.
Le ciel s’est couvert et un vent soutenu et frais contrarie la progression.
Chemins de terre et secteurs pavés s’enchaînent.
Premier ravitaillement de Marchiennes, l’approvisionnement est fluide malgré le flux de convives.
C’est reparti vers Faumont.
On approche de Mons en Pévèle, certains ont en déjà leur content et optent pour un raccourci d’une quinzaine de kilomètres en coupant la boucle faite par le circuit à cet endroit, quitte à se priver du ravitaillement de Faumont.
Ravitaillement de Faumont, moins enneigé que pour le Chicon Bike Tour (Cf. les archives de janvier 2013). Les uns se restaurent, d’autres en profitent pour donner des nouvelles.
A l’assaut de Mons en Pévèle, alors que se dessine une franche éclaircie. Disposant encore de mes deux mains, je photographie en roulant.
Dernière photo… pour ce brevet.
Tronçon fatal.
2 réponses sur « Paris – Roubaix VTT 2013 (ou presque) – 2ème partie »
Mince , Eric, c’est quoi cette nouvelle tendance? Nous avions bien remarqué et pour notre plus grand plaisir de lecteur que lorsque l’occasion se présentait tu n »hésitais pas à clore un texte de reportage d »une élégante chute, mais de là à joindre le propre au figuré…
Plaisanterie à part bon rétablissement et garde le moral , deux rudes chutes si rapprochées ce n’est vraiment pas de chance.
courage à toi.
Jean Pierre
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Bonjour Eric. Je viens d’apprendre, en lisant ton reportage, ta mésaventure. Décidément, tu n’a pas de chance en ce moment.
Bon courage pour les semaines à venir, prompt rétablissement et reviens vite pour nous faire de beaux reportages.
Cordialement
Gérard
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