Les terrils en paysage pour ces Défis de la Sainte Barbe d’Hénin Beaumont.
Le VTT n’était que l’un des défis de la Saint Barbe, au départ d’Hénin Beaumont. Marche et course étaient également au programme.
Ceci explique sans doute cela, car le parcours était plutôt gravel que VTT. La traversée du terril d’Evin-Malmaison et de ceux de Sainte Henriette (je sais maintenant comment y parvenir) n’ont sans doute pas rassasié les amateurs.
Mais qu’à cela ne tienne, le tracé à défaut d’être technique était champêtre et nous avons pu pleinement profiter de l’ambiance vivifiante qui soufflait sur la plaine.
Un peu de soleil eut été le bienvenu pour nous réchauffer mais aussi éclairer des paysages automnaux. C’était également le voeu du photographe qui, travaillant sans flash, fut un peu démuni pour déboucher les ombres, fruits du manque de luminosité. En la circonstance, il fit ce qu’il put.
C’est sûr le vététiste n’aime pas l’eau (et pas seulement sur les chemins).
J’ai pu cette fois-ci encore jouer les bons samaritains en gonflant le pneu de cette jeune pratiquante, partie avec son groupe sans vérifier que l’un deux avait bien pris la pompe.
Trop court passage en terril.
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Départ sous le soleil pour cette Orchésienne qui fut finalement épargnée par la pluie sauf en toute fin de matinée.
Si la nidification vint contrarier le traceur du CC Orchies pour La Printanière, ce fut la chasse qui fut cause de changement d’itinéraire pour cette Orchesienne, un passage dans la forêt de Marchiennes n’ayant pas été autorisé.
Fort heureusement, on ne chasse pas sur le terril de Rieulay et cette année encore il fut un agréable terrain de jeu mêlant monotrace, petites et grandes bosses, cheminement en sous-bois et voies plus dégagées.
Les organisateurs avaient prévu de le rendre accessibles à tous et à certains endroits deux options étaient possibles. Seule récrimination, le recours à l’anglais pour les différencier. Ainsi donc, par une perversion langagière que je réprouve et que je m’emploie à stigmatiser, facile est devenu cool et difficile, hard. L’investissement en signalétique qu’imposerait un retour à l’orthodoxie étant modeste, souhaitons en 2023 voir les F et les D remplacer les C et les H.
Ce sera le seul reproche formulé. le fléchage horizontal et/ou vertical était bien adapté et le ravitaillement varié et copieux.
Le reste du cheminement faisait emprunter secteurs, pavés chemins agricoles, chemins de halage et voies vertes. De quoi profiter des couleurs et ambiances automnales.
Je ne fus pas cette fois trahi par la technique et pus saisir, sinon tous, une partie des participants. Des photos à suivre donc.
La disparition des contraintes sanitaires vint considérablement alléger la tâche des bénévoles à l’accueil au regard de l’édition 2021.
Accueil souriant et bien organisé, comme nous en avons l’habitude à Orchies.
Lien vers les traces GPS.
La trace du 50 km que j’ai suivie.
Freddy et Philippe partis de bonne heure.
Ils ne sont pas les seuls. Je patiente donc.
Nous voici dans la montée qui donne accès au terril de Rieulay. Rien d’affreux, mais il faut quant même pousser sur les pédales.
Un peu plus loin, une monotrace plaisante.
Autre passage proposant un enchaînement de bosses.
Renard fourvoyé, tel est sans doute son totem. Il aurait du arriver par la gauche. Mais tous les chemins mènent à Rome.
Il suivait Renard fourvoyé.
Il n’a pas suivi Renard fourvoyé.
Un signaleur était là pour éviter aux cyclistes non anglophones de devoir sortir leur traducteur automatique et leur permettre de choisir entre facile et difficile.
Il ne fallait ni partir trop tôt, ni rouler trop vite pour avoir la chance, sur le chemin du retour, de voir les carrières d’Antoing sous le soleil.
Franc succès pour cette 31ème Rando VTT des Carrières organisée, faut-il encore le préciser, par le CT Antoing.
Parcours différent de celui de l’an dernier mais faisant lui aussi la part belle aux tronçons en mono-trace biens sinueux et parfois bien pentus.
Le sol plutôt gras, sans être détrempé, rendait le pilotage parfois acrobatique et réservait le franchissement de certaines bosses aux costauds.
Le circuit sollicita pilotes mais aussi machines. Je vis ainsi trois ruptures de chaînes. Au premier cycliste, je fournis une attache rapide, celui-ci étant muni d’un dérive chaîne, au second je prêtai mon dérive chaîne celui-là étant pourvu en attache rapide, le troisième avait tout le nécessaire.
Le paysage des carrières bien que connu est toujours aussi impressionnant et nombreux sont ceux qui se ménagèrent des haltes photographiques.
Le temps gris au départ devint franchement ensoleillé sur le coup de 11h00 et fit découvrir, à ceux qui comme moi avaient pris leur temps, le site des carrières sous le soleil.
Ma production de photos sera piètre, s’agissant des photos de cyclistes en plan rapproché. Lors d’une extraction de mon sac de l’appareil dont je me sers pour ces photos, j’ai pas inadvertance modifié le réglage du mode de l’autofocus. Ceci fait qu’une bonne partie de ces photos sont floues. Je ne m’en suis rendu compte que tardivement. Outre les quelques photos avant et après perturbation, demeurent des photos d’ambiance.
La trace du 45 km que j’ai suivie.
Forte affluence dès 8h00.
Mais, bien gérées, les inscriptions sont fluides.
Trace à la chaux, rubalise, peinture et piquets, tout fut mis en oeuvre pour un balisage sans faille.
Cette édition démarrait par la carrière et par un point de vue qui provoqua de nombreux arrêts.
Passage devant les engins, sources également de nombreuses prises de vues.
Jusqu’ici tout va bien, pour la cycliste et le photographe.
« Nous entrerons dans la carrière quand nos ainés n’y seront plus » dit La Marseillaise. Celui-ci et d’autres n’ont pas attendu, mais il est vrai que nous sommes en Belgique.
Entre cette prise de vues et la précédente, de nombreux flous éliminés.
Beau saut.
Belles couleurs.
J’ai rétabli le bon réglage, mais un peu tard.
La grisaille a disparu.
Paysage moins austère que celui des carrières.
Le premier ravitaillement.
Second passage dans les carrières, sous le soleil cette fois.
Je ne suis pas le seul à m’arrêter.
Chaude ambiance sous la tente, sans doute entretenue par la Diole locale.