
Après une mise en chauffe sur chemin de halage, la Gérard nous entraîne sur des secteurs nettement moins roulants.
Dimanche 15 mars, tous les brevets sont annulés. Que faire, rester au chaud? C’est sans compter sur les ressources de Gérard qui a plus d’un itinéraire dans sa besace.
Malgré un message adressé au vététistes du club, nous ne sommes finalement que deux à enfourcher nos bécanes Je croise devant le parc du Baroeul deux cyclos qui cherchent en vain les traces de Mons à vélo. Mais le club avait annoncé l’annulation en début se semaine et n’avait pas tracé.
Avec Gérard, pas besoin de trace et je me contentai de le suivre, sur des chemins agricoles bien boueux, chemins de halage et sentes forestières l’étant un peu moins.
Parcours agréable et peu fréquenté entre Marque, Deûle et Lys en ce dimanche de pré-confinement.
Je vous communique la trace pour des temps plus fastes, les perspectives de pouvoir rouler sur des routes désertées étant irrémédiablement écartées en cette période de confinement.
Ce sera peut-être pour moi l’occasion de mettre en ligne des articles inachevés d’anciennes randonnées.

La trace téléchargeable sur Openrunner.

On rejoint la Marque au niveau de la Poste.



Un mur de tags bien connu et souvent renouvelé.

Courte variante pour profiter du dénivelé d’un talus.


Wambrechies,et son port de plaisance.

« Voilà un chien obéissant » dit Gérard...

… je vous laisse apprécier la sûreté de son jugement en matière de comportement canin.
…

On arrive à Quesnoy sur Deûle.


Crochet en campagne …

… où un jeune veau qui avait fait le mur…

… connaît un moment de panique.

Ce n’est qu’un début.




Pas de gros peloton ce matin.




Retour à la Deûle, on devine sur la droite le pont jaune de Deulemont.


On suit maintenant la Lys.




On quitte la berge pour une séquence bois et monotrace.


Rien ne lui résiste.

Ca glisse quand même.




Drôle d’oiseau…

Une petite boucle pour le plaisir de ce court raidillon.




C’est reparti pour du monotrace.




On se croise en respectant la distance de sécurité.



Des vestiges d’anciens brevets sans doute. Mieux vaut apposer une flèche amovible.

Un bon entraînement pour le bunny hop.





Rien de grave, et personne ne pouvait l’aider pour ce qu’il avait à faire.





Un peu d’asphalte, mais pas pour longtemps.








C’est presque l’autoroute.




Ce n’est pas le magnétisme naturel de Gérard qui fait se retourner ces cavalières, mais vététiste échaudé craint la ruade et prudent il annonce notre passage.

Retour au canal…

… et ses variantes bosselées.



Un dernier passage boueux.

L’église Saint Vincent, la Poste est sur l’autre rive.
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