Pour rester dans une note florale en introduction de cette deuxième partie, quelques jonquilles.
Poursuivant ce reportage, c’est à l’ombre que nous nous retrouvons pour voir passer une file quasi ininterrompue de cyclistes. Il nous faudra attendre la troisième partie pour retrouver le soleil.
Quelques trous dans ce continuum, fruits d’aléas techniques et non d’une volonté d’ostracisme.
La suite se passe de commentaires.
La suite demain sans doute.
C’est FAIT.