
Sorle le chateau sous un jour plus riant que la veille (voir 5ème étape)
Ciel bleu et air vif, pour le début de cette dernière étape.
Je modifie l’itinéraire prévu passant par Coussorles et reviens sur mes pas pour emprunter, à Sorle le château, la voie verte de l’Avesnois qui relie Glageon à Ferrière la Grande et dont j’ai découvert l’existence dans la documentation de la chambre d’hôtes.
Cette voie verte, en sable stabilisé, a été aménagée en 2007 sur l’emprise d’une ancienne voie ferrée. Elle est accessible au piétons, vélos et cavaliers. Une partie de la piste est prévue spécialement pour ces derniers.
Sur le tronçon que j’ai emprunté, j’ai trouvé que la voie offrait peu de points de vue. Bordée de haies, parfois encaissée entre deux talus on devine souvent plus qu’on ne les voit les paysages alentours. L’avantage est bien sûr l’absence totale de circulation qui la rend propice aux balades avec de jeunes enfants. Ce parcours s’intègre dans un projet de Véloroute Paris-Moscou.
Une fois parvenu à Maubeuge, commence les zigs zags pour éviter les agglomérations. La densité urbaine s’accentue et j’alterne points sur la carte et navigation à l’estime. Cela donne un parcours chaotique que je renonce à transcrire. L’histoire ne retiendra donc que le parcours prévu.
Je finis par me retrouver en terrain connu et achève mon périple sur les chemins des brevets du dimanche.
Trois mois après ce retour, je n’ai pas démonté mon porte bagage comme je l’avais envisagé, prêt à remettre les sacoches dès que l’occasion se présentera.

Le temps s’est arrêté à Sorle le chateau, à moins qu’il ne soit resté à l’heure d’hiver. Il est vrai que je ne suis pas parti très tôt.

Le kiosque à musique.

La voie verte de l’Asvenois. Pour Moscou, suivre la direction Ferrière-la-Grande.



Le long de la voie verte.

Café de la place, mais de laquelle? Ma mémoire est défaillante.

Des nuages pour conclure.

Dernière étape.
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