De l’eau, il y en avait pour cette Annaysienne 2024 et pas seulement dans les lacs et étangs. Les chemins leur faisaient concurrence.
Le tracé de l’Annaysienne est musclé par temps sec, avec la boue je le qualifierais d’athlétique et j’ai terminé pour ma part les 45 km avec les cuisses qui piquaient.
Riche en monotraces, le circuit ménageait heureusement quelques portions goudronnées en bordure de canal qui permirent de faire remonter un peu la moyenne.
Pour le reste, le terrain était au minimum collant et le plus souvent franchement boueux. La palme revient à un tronçon situé au km 30. Les jantes étaient complètement gainées de boue et ayant comme beaucoup mis pied à terre, j’ai fini avec une roue arrière qui glissait au lieu de rouler. Ceux qui firent un tout droit au lieu de suivre la boucle furent bien inspirés.
Le dernier terril était là pour saper mes dernières forces avec son enchaînement de bosses et de creux. A la bifurcation entre le 45 et le 50 km, je n’eus aucune hésitation sur la direction à prendre, celle de l’arrivée la plus proche.
Le parcours était très bien fléché, les signes directionnels étaient bien complétés par d’autres indiquant les fausses directions, ce qui était particulièrement utile dans le dédale des traces sur les terrils.
Une randonnée à faire donc si vous ne l’avez jamais pratiquée.
Des photos à suivre comme d’habitude.
La trace du 45 km que vous pouvez retrouver avec celles des quatre autres distances proposées sur Openrunner
Un accueil fluide bien rodé.
Une partie des Renards des Sables, club le plus représenté avec 11 participants.
Un des nombreux passages en sous-bois, toujours aussi plaisants.
Ca monte.
Sinueux mais sec.
Sandwich, boisson et SOUPE à l’arrivée.
La fréquentation moindre qu’en 2023 aura sans doute été affectée par les vacances scolaires.
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La rando des Renards des sables est l’une des rares (seule ?) à permettre de traverser le terril de Lallaing et profiter des ses ambiances lacustres.
La réputation de la rando des Renards des sables, plus forte que les piètres prévisions météo! Les participants, en vélo ou à pied, étaient au rendez-vous.
Les pluies de la semaine laissaient attendre le pire en termes de boue, ce ne fut pas vraiment le cas, sauf peut-être sur un court tronçon à la sortie du terril de Râches où il était difficile de contrôler sa direction tant le terrain était gras et collant. Sinon, c’était bien humide mais pas quoi mettre pied à terre comme c’est parfois le cas. L’attention était cependant de mise pour maîtriser sa trajectoire.
Ce sont la pluie, intermittente mais drue et le vent, soufflant en fortes rafales, qui vinrent jouer les trouble-fête.
Deux terrils étaient au programme. Celui de Lallaing toujours, pittoresque avec ses petits lacs et ses zones d’herbes hautes. Celui de Râches tout en monotrace.
Bonne organisation, est-il besoin encore de le mentionner.
Quelques photos prise sur le terril de Lallaing et sur le retour. Mais vu le nombre de photographes du club croisés le long du parcours, chacun se retrouva sans nul doute immortalisé.
La trace du 45 km.
Un café pour démarrer, la bière est prête pour le retour.
L’atelier sandwichs a débuté, ça manque d’hommes. C’est cela aussi la parité.
Fléchage au sol et aérien efficace.
Les traces étaient téléchargeables.
Première séquence sur le terril de Lallaing.
Le ravitaillement au plus fort de la pluie en ce qui me concerne.
Soupe chaude.
Je profite d’une accalmie et d’un paysage bucolique.
Un peu de pub.
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Ambiance franchement hivernale pour cette édition 2024 du Chicon Bike Tour organisé par le VC Faumont.
La fréquentation aura été nettement en deçà de celle habituelle et ceux qui auront boudé cette édition 2024 du Chicon Bike Tour le regretteront sans doute, car s’il fallait bien se couvrir pour affronter un vent froid, l’enneigement donnait une plaisante note d’exotisme à cette randonnée.
La neige était présente tout au long du circuit et renouvelait complètement le terrain bien connu de la Pévèle. Pas de boue, le sol étant franchement gelé, mais pas de patinoire non plus, même si par endroits il fallait se garder de quelques plaques de verglas, principalement sur la chaussée, là où la neige avait été davantage tassée.
Le terril de Leforest avait été neutralisé et l’itinéraire sur celui d’Evin Malmaison aménagé à l’heure où j’y passais.
L’absence de lumière en tout début de matinée masquant les reliefs sur la neige, la prudence était de mise, mais les chemins étaient aisément praticables.
Balisage vertical et peinture sur la neige assurèrent un fléchage de qualité.
Le ravitaillement était varié et abondant.
A l’arrivée, la moindre participation nous fit bénéficier de deux saucisses et deux sachets de chicons. « Le malheur des uns fait le bonheur des autres », hein.
Il faisait vraiment trop froid pour sortir ses mains des gants et envisager des pauses prolongées pour photographier. Deux courtes haltes pour réaliser des photos d’ambiance me donneront l’occasion de saisir des cyclos de passage. Mais Vélodom et Jean-Louis du VC Faumont étant présents à plusieurs endroits, vous vous verrez sans doute dans leurs reportages dont vous trouverez les liens sur l’excellent site cycloshdf.fr.
En compensation de la faible production d’images, je vous propose une séquence souvenirs avec quelques photos réalisées en 2013, lors d’une édition d’anthologie où la neige ayant commencé à tomber en fin de nuit, seuls 275 participants au lieu des 1800 attendus s’étaient risqués à faire le déplacement.
Pour ceux qui étaient venus, rouler dans la neige fraiche fut un vrai régal.
5 circuits VTT proposés de 26 à 50 km, classés de Découverte à Sportif. Les traces sont disponibles sur le site du club.
Un accueil bien organisé, mais ce n’est malheureusement pas l’affluence des grands jours.
Café ou chocolat chaud.
Joseph, géant de Faumont, beau bébé de 3m50 et 150 kgs, né en 1984.
Sa compagne Louis, plus fluette avec seulement 120 kgs. Pour tout savoir sur les géants de Faumont, consultez le livre des géants de Faumont, réalisé par les enfants du Mercredi récréatif.
Il fait désormais bien jour et il est temps de partir.
Ravitaillement de Leforest.
La soupe bien chaude est bienvenue.
Le VC Faumont avait mis en place un dispositif de secours avec la protection civile. Des points de secours, matérialisés par des panneaux, étaient positionnés sur les différents circuits, mais j’avoue que je n’ai pas bien compris comment les utiliser. Je suis preneur d’explications.
Photo d’ambiance le long du canal après le terril d’Evin Malmaison.
J’en profite pour saisir quelques cyclos qui passent.
Deuxième passage au ravitaillement de Leforest.
Vers Mons en Pévèle. Un chemin qui, notamment vers la fin, est franchement boueux à cette époque.
En format portrait…
… ou paysage, comme il vous plaira.
Dans l’ordre, soupe, sandwich, boisson et chicons.
Au second plan, Jean-Louis qui aura assuré la couverture photographique pour le club dans ses oeuvres.
Repas complet.
Séquence souvenir 2013
Monsieur Chicon indique le départ aux quelques valeureux venus malgré la neige.
Ca tombe toujours.
Mons en Pévèle.
Plaisir de rouler dans la poudreuse.
Plaisir de skier dans la poudreuse.
Galère d’avancer dans la poudreuse.
Je n’avais pas du tout le souvenir de cette photo lorsque j’ai pris à peu près la même aujourd’hui.
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On aurait bien demandé au Père Noël de nous prêter ses rennes pour nous tracter dans cette montée bien pentue par endroits et franchement boueuse partout.
Encore une sortie où il valait mieux avoir des jambes que cette Randonnée du Père Noël organisée par les Palots d’Angres. Dénivelé et boue se liguaient par endroits, rendant la progression pour le moins difficile.
Deux boucles, l’une de 25 km conduisant à Vimy et l’autre de 40 km prolongeant jusque Notre Dame de Lorette, étaient au menu.
Parti avec Freddy pour le 40 km, je me limiterai au 25 km, celui-ci ayant cassé sa patte de dérailleur à une dizaine de kilomètres du départ. J’aurai juste le temps faire la petite boucle tandis qu’il rejoignait Angres.
Mais ce circuit était déjà bien plaisant, avec des terrains variés et quelques montées remarquables donc celle partant de Givenchy et conduisant au mémorial de Vimy. Difficile de ne pas mettre pied à terre à un endroit ou un autre, patinage et dérapage, étant les deux mamelles de cette côte. J’arriverai au mémorial les jantes des deux roues gainées, de chaque côté, d’un anneau glaiseux.
Les contraintes du jour firent que je limitai mes prises de vues. Quelques photos néanmoins.
La trace du 25 km que vous pouvez retrouver sur Openrunner. La trace du 40 km est disponible sur la page Facebook du club.
Plusieurs participants avaient adopté une tenue de circonstance, certains allant même jusqu’à équiper leur vélo d’une guirlande lumineuse. Je n’ai pas vu l’état des guirlandes à l’arrivée.
Sur les terrils, le sol était quand même nettement moins boueux que dans les champs.
Ravitaillement substantiel un peu avant d’arriver à Givenchy en Gohelle.
Un vin chaud bien apprécié.
Le mémorial dans la grisaille.
Le plus dur est fait.
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