
Ma dernière participation remontait à 2019 et à consulter mes archives, il apparaît que les conditions météo furent identiques cette année, un temps sec mais froid.
Le CC Annay avait tout prévu pour nous réchauffer avec des parcours animés. Trois terrils étaient au programme avec chacun leur lot de montées et descentes. Assez vite on grimpait en température malgré le vent du nord plutôt soutenu. Le soleil, généreux, apporta également sa contribution.
De nombreuses mono-traces jalonnaient le circuit et exploitaient au mieux les ressources du terrain.
Le dernier terril fut, de mon point de vue, le plus exigeant avec un tracé sinueux faisant alterner à bon rythme creux et bosses aux pentes bien raides. N’étant pas un grand descendeur, je ne pus profiter pleinement de la vitesse acquise et dus d’autant mouliner et appuyer sur les pédales dans les remontées, calant deux ou trois fois en haut de la pente.
Le fléchage était irréprochable en matière directionnelle. L’utilisation exclusive de la peinture verte sur les chemins, prairies et terrils était je trouve plus discutable en termes d’environnement.
Cette remarque étant faite, l’Annaysienne mérite son succès de fréquentation et est à conseiller.
Des photos, il faillit ne pas en avoir. Ayant choisi un emplacement bien exposé tant pour les prises de vue que pour le bien-être du photographe, je dus constater à la première tentative que j’avais une fois encore oublié de remettre la carte mémoire dans l’appareil.
Heureusement, mon téléphone me permit de pallier cette étourderie, la configuration des lieux facilitant une prise de vue rapprochée.



































































































































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