La photo aplatit la pente et surtout ne montre pas le petit mur qui la conclut.
Nous avions laissé à la fin de la première partie un cycliste devant un abîme de perplexité. En fait d’abîme, il s’agissait d’une descente bien raide se terminant par un petit mur.
D’aucuns laissaient entendre qu’elle pouvait se conclure par un « jump ». Je n’en vis pas vraiment en réaliser un. Pour ma part, c’était déjà bien de ne pas caler dans la partie terminale.
Voici donc quelques photos de qualité médiocre la cellule de mon appareil photo n’étant pas suffisamment réactive pour gérer la différence de luminosité entre les différentes portions compte tenu la vitesse de déplacement des sujets. J’ai tenté de corriger la sur-exposition mais le résultat est très moyen.
Une seconde série réalisée un peu après sur une portion également raide en montée est un peu mieux équilibrée au point de vue chromatique.
Pour en revenir à la pratique cycliste, des passages qui changent des chemins gluants qui constituent le principal des terrains de jeux VTT des environs de Lille.
Sauf erreur ou gémellité, en voici un qui a pris goût à la chose et refait la descente (Cf. Une des photos précédentes).
Un peu plus loin, un autre franchissement d’une partie bien pentue, mais cette fois sans élan.
On attend des compères attardés.
En voici un.
Et voici le dernier, qui n’était pas vraiment d’humeur, au moins en apparence, à se laisser chambrer par ses compagnons de route.