Fausse promesse que ce soleil levant. Les nuages l’emporteront durant ce Mons à Vélo plutôt frais.
La boucle est-elle bouclée ? En mars 2020, Mons à vélo faisait partie des premiers brevets annulés pour raison sanitaire. Et pour cause, le gouvernement avait annoncé le samedi les mesures de confinement entrant, pour certaines, en vigueur à minuit.
Deux ans après, l’édition 2022 se déroulera sans masque et dans la convivialité retrouvée. Souhaitant que cela ne soit pas une nouvelle parenthèse, ne boudons pas notre plaisir.
Quatre distances étaient proposées de 20 à 80 km, la plus longue nous emmenant vers Faumont et retour par Mons en Pévèle. Parcours classique mais toujours agréable car privilégiant des routes à faible circulation.
Si Météo France laissait attendre le grand beau, les éléments ou quelque divinité les commandant en décidèrent autrement, les nuages masquant avec persévérance l’astre solaire. Je ne regrettai pas d’avoir opté pour mes gants les plus chauds.
Le temps n’était donc pas idéal pour les prise de vues, mais quelques uns se reconnaîtrons sur les clichés qui suivent.
Jean-Claude Fallet, président du CCM, en pleine activité de délégation et en bonne compagnie.
Pendant ce temps….
Les Roubaisiens sur le départ.
Marianne mène le train.
Même mes algorithmes de Facebook, ne le reconnaîtront pas.
Arrivée au ravitaillement.
Pointage des cartes au ravitaillement. Ce n’est pas inutile car un des participants alors que j’y étais, souffrant sans doute de phobie administrative comme un de nos anciens ministres avait omis de s’inscrire. Il a régularisé.
Ils n’auront pas évité le secteur pavé conduisant au Pas de Roland à Mons en Pévèle.
Le plus jeune participant.
Les arbres le signifient, c’est le printemps. Brrr!
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Le Steenmeulen constituait l’objet de cette sortie. On ne peut que confirmer l’invitation de l’affiche : Visitez le.
Avec le mois de mars, les sorties journée du VC Roubaix Cyclotourisme reprennent.
Celle de ce jeudi, préparée par Francis, nous emmenait vers Steenvoorde et son Steenmeulen dont la visite était au programme ; 140 km au départ de Roubaix à travers la Flandre et les Weppes par des routes peu fréquentées.
La visite du moulin, commentée par un truculent meunier féru de technique, et de ses annexes mérite le détour.
Le temps couvert au départ laissa place ensuite à de larges éclaircies et un ensoleillement bienvenu, alors que l’air restait frais de par un vent soutenu par moments.
La trace accessible sur Openrunner.
Pause café à Steenwerck.
Cherchez l’erreur.
Si le ciel est désormais dégagé, il ne fait pas excessivement chaud.
Francis, l’organisateur du jour…
… qui en prime se charge de l’animation crevaison.
L’occasion pour certains de discuter…
… et pour moi d’admirer le paysage.
Heureusement que d’autres plus solidaires prêtent main forte.
Bon toujours pas fini ?
Non, non mais ça progresse.
Faute d’avoir vu une épine sournoisement fichée dans le pneu, une deuxième crevaison dans la foulée.
Arrivée au Steenmeulen.
Dont la cour regorge de vieilles machines en tout genre.
Une fois restaurés, c’est parti pour la visite.
Les ailes peuvent atteindre 120 km/h en vitesse périphérique. Il est prudent de baisser la tête.
Une visite très documentée.
Mais on peut, comme à l’école, regarder par la fenêtre tout en écoutant.
Le moulin tournait, comme en atteste le flou de l’engrenage.
Ces meules-ci ne sont pas destinées à faire de la farine mais de l’huile.
Une évolution par rapport à ce dispositif, sophistiqué mais moins efficace.
Le moulin est le royaume des engrenages, construits en bois.
Transformation de la rotation verticale des ailes en mouvement horizontal. A droite, la pièce de bois qui permet de freiner la rotation des ailes.
Le toit peu coulisser sur un rail afin d’orienter les ailes selon le sens du vent.
Ce qu’on appelle une échelle de meunier ?
Le blé est moulu entre deux meules horizontales. Un cerclage amovible permet de canaliser la mouture.
Système de régulation. La vitesse de rotation provoque l’écartement des boules et corrélativement permet au levier en bois de monter.
Le Mont Cassel à l’horizon.
Quelques vieux vélos …
… et de rutilants tracteurs.
Sur le chemin du retour, l’église Saint Wulmar de Eeck de style Hallekerque.
Saiily sur la Lys, on bascule vers les Weppes.
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Temps sec mais venteux pour cette édition 2021 du Raid des trois vallées qui permit de profiter des paysages automnaux.
C’est avec plaisir que je retrouvai ce dimanche le Raid des trois vallées.
Changement d’ambiance pour cette édition, car les incertitudes liées à la situation sanitaire avaient conduit le Vélo Club de Saint Saulve à retenir un parcours se déroulant exclusivement en France, nous privant ainsi des sinueux et ludiques tronçons tracés les années précédentes dans le bois d’Angre.
Pour autant, le circuit de 50 kilomètres ne manquait pas de charme nous faisant emprunter chemins agricoles et plusieurs secteurs pavés. Comme en atteste le profil du dénivelé, ce n’était pas complètement plat et le vent, en terrain souvent découvert, ajoutait un brin de difficulté. Fort heureusement il fut plutôt favorable sur le retour.
Malgré les récentes pluies les chemins étaient en majorité praticables sans boue excessive. Merci à ceux qui, pour la photo, ont vaillamment et joyeusement franchi sans barguiner quelques flaques imposantes, produisant de belles gerbes d’eau. Certains, j’en suis désolé, n’en seront pas récompensées, les photos étant trop floues pour être publiées.
Comme d’habitude, tout était bien organisé. De nombreux signaleurs étaient postés aux intersections avec des voies de circulation fréquentées et le balisage de qualité. Les consignes sanitaires furent strictement respectées, ce qui nous priva de ravitaillements, mais nous fûmes dotés de barres de céréales. Le traditionnel sandwich/boisson, fut lui maintenu.
Merci donc aux organisateurs et aux bénévoles d’avoir dépassé les contraintes sanitaires pour nous permettre de nous retrouver.
Retour pour moi au savant dosage entre pratique du vélo et photo. Trouver les bons endroits et les bons moments et ne pas arriver trop tard.
La trace, que vous pouvez retrouver sur Openrunner en cliquant sur l’image.
Rien de trop méchant en matière de dénivelé mais, l’air de rien, ça monte et ça descend.
Contrôle du Passe sanitaire à l’entrée et port du masque dans la salle.
Vue satellite du parcours.
Ô la gourmande.
Le club d’Escaudain qui avait fin août organisé également une sympathique nocturne était bien représenté.
Fléchage vertical et peinture au sol par endroits ne laissaient pas de place au doute. Quant au panneau Danger, il vous faudra attendre la seconde partie de l’article pour en connaître la raison.
Une fin de chemin montant avec le soleil de face, une halte photo s’impose.
Le clocher à bulbes de l’église de Sebourg.
Suivons les pour la suite de ce circuit.
Avec un tronçon franchement humide, que certains choisissent de contourner …
… et d’autres de traverser.
On pourrait intituler cette photo « Trouble mutuel ». Sans doute est-ce ma présence qui a déstabilisé cette cycliste, mais je ne suis pas en reste côté trouble car la photo est floue.
Au clair de la lune, Pierrot n’était pas dans son lit ce samedi mais sur sin biclou pour la randonnée des lampistes au départ d’Escaudain.
Le club Cyclo VTT d’Escaudain y a cru. Deux cents participants lui ont donné raison qui sont venus pour cette 10ème randonnée des lampistes.
Terrain sec, une température à rendre jalouse une nuit d’août, les conditions étaient idéales pour cette nocturne qu’éclairait une belle lune.
Deux circuits de 20 et 43 kilomètres étaient proposés. Le plus long, que j’ai pratiqué, proposait des cheminements variés très roulants pour la plupart. Quelques monotraces un peu accidentées nécessitaient un peu d’attention mais rien de trop technique.
Le balisage était très soigné combinant fléchage au sol et vertical, rubalise. Aux intersections, les routes à ne pas emprunter étaient clairement indiquées par des croix en plus des flèches directionnelles.
Des signaleurs étaient postés aux intersections avec les routes les plus fréquentées.
Une bonne organisation, dans le respect des consignes sanitaires.
Bravo et merci aux organisateurs.
Tout au plaisir de rouler, j’ai un peu négligé les photos. Voici quand même quelques clichés d’ambiance.